Même si le Président Macky Sall a annoncé, lors de son adresse à la Nation, le 31 décembre dernier, «la restauration du quinquennat pour le mandat présidentiel, y compris la question de l’applicabilité immédiate de la réduction à cinq ans du mandat de sept ans en cours», la date de la prochaine présidentielle reste et demeure un mystère. Sauf pour le président de l’Alliance pour la République (Apr) qui manœuvre comme pas possible pour que tous les partis de la coalition Benno Bokk Yaakar (Bby), surtout les plus représentatifs, soutiennent sa candidature. Ainsi, l’Alliance des forces de progrès (Afp) – ce qui en reste après les nombreuses défections et l’opération de démantèlement lancée par le président du Grand parti, Malick Gackou – ayant fait acte d’allégeance de même que des partis n’ayant jamais pris part à une consultation électorale, il restait au patron des «apéristes» de décrocher le soutien du plus vieux parti politique du Sénégal, à savoir le Parti socialiste (Ps).
Une entreprise qui n’a pas été de tout repos car, malgré le fait que des socialistes siègent en réunion du Conseil des ministres ou pilotent d’autres structures étatiques, de plus en plus, des voix s’élèvent pour dire que le Ps ne saurait ne pas avoir de candidat à une élection présidentielle. Une position que partage leur Secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng, qui refuse toutefois de préciser si c’est Macky Sall ou un autre issu de leur rang. Mais, selon des sources de dakar7.com , réputées dignes de foi, ce candidat mystérieux dont parle le patron des socialistes n’est personne d’autre que l’actuel Chef de l’Etat, Macky Sall. Et nombre de barons du Ps ont déjà donné leur aval et cogitent déjà sur les stratégies à mettre en place pour faire avaler la pilule aux récalcitrants. Reste à savoir si ce forcing va passer même si Tanor & Cie ont des arguments solides à brandir : on ne peut pas partager le bilan de Macky Sall et présenter un candidat autre que lui.
Une entreprise qui n’a pas été de tout repos car, malgré le fait que des socialistes siègent en réunion du Conseil des ministres ou pilotent d’autres structures étatiques, de plus en plus, des voix s’élèvent pour dire que le Ps ne saurait ne pas avoir de candidat à une élection présidentielle. Une position que partage leur Secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng, qui refuse toutefois de préciser si c’est Macky Sall ou un autre issu de leur rang. Mais, selon des sources de dakar7.com , réputées dignes de foi, ce candidat mystérieux dont parle le patron des socialistes n’est personne d’autre que l’actuel Chef de l’Etat, Macky Sall. Et nombre de barons du Ps ont déjà donné leur aval et cogitent déjà sur les stratégies à mettre en place pour faire avaler la pilule aux récalcitrants. Reste à savoir si ce forcing va passer même si Tanor & Cie ont des arguments solides à brandir : on ne peut pas partager le bilan de Macky Sall et présenter un candidat autre que lui.