Les membres du collectif dénoncent vigoureusement les agissements d’un groupe d’individus, accusés de spoliation foncière et de pratiques frauduleuses. Selon les plaignants, les prédateurs fonciers procèdent à des actes de cession illégaux et à la vente frauduleuse de parcelles, trompant ainsi de nombreux citoyens en quête de propriété immobilière.
« Ce groupe de spoliateurs fonciers effectue leurs actes délictuels sur la base d’actes de cession que vous conviendrez avec nous illégaux. Ils trompent ainsi la vigilance de leurs clients en brandissant des promesses de vente. Un précédent dangereux, une première au Sénégal, de voire un acte de cession à distraire sur un titre foncier dont les droits réels sont grevés de charges.
Pire, ils parlent de l'unité 4 et autres, de TNI, de lotissement du TF 1451/R à Jaxaay dont ils n'ont pas d’actes administratifs visés et certifiés par les services déconcentrés de l'État à savoir l'Urbanisme et le Cadastre », a laissé entendre Mamadou Ndiaye Daara
Il poursuit dans la foulée « Un cabinet notaire se permet d'établir des promesses de vente sur un titre foncier dont les droits réels sont grevés de charges. Quelle légèreté de la part du cabinet ! Même en dehors des charges, une promesse de vente n'est pas un titre de propriété », continue de dénoncer le porte-parole du collectif qui alerte sur les agissements d’autres individus dans ces opérations illégales
« Des personnes malintentionnées se sont mêlées dans cette affaire pour tirer aussi profit de ces opérations de vente et d'occupation illégale de parcelles. C'est devenu un méli-mélo malgré les multiples arrestations dont ils ont été l'objet. Ils sont en liberté provisoire mais continuent de belle manière à squatter ce site pour mener des tractations suspectes sur les terrains nus dont certains propriétaires sont à l'étranger, d'autres décédés, d'autres non encore prêts », alerte ce dernier /
Il revient à la charge, « malgré les multiples arrestations et les rappels à l'ordre des autorités compétentes, les spoliateurs fonciers continuent leurs activités illégales, semant ainsi le trouble et l'incertitude dans la communauté ».
Les membres du collectif expriment leur profonde préoccupation face à cette situation persistante, qui prive les acquéreurs légitimes de leurs droits de propriété.
« Ce groupe de spoliateurs fonciers effectue leurs actes délictuels sur la base d’actes de cession que vous conviendrez avec nous illégaux. Ils trompent ainsi la vigilance de leurs clients en brandissant des promesses de vente. Un précédent dangereux, une première au Sénégal, de voire un acte de cession à distraire sur un titre foncier dont les droits réels sont grevés de charges.
Pire, ils parlent de l'unité 4 et autres, de TNI, de lotissement du TF 1451/R à Jaxaay dont ils n'ont pas d’actes administratifs visés et certifiés par les services déconcentrés de l'État à savoir l'Urbanisme et le Cadastre », a laissé entendre Mamadou Ndiaye Daara
Il poursuit dans la foulée « Un cabinet notaire se permet d'établir des promesses de vente sur un titre foncier dont les droits réels sont grevés de charges. Quelle légèreté de la part du cabinet ! Même en dehors des charges, une promesse de vente n'est pas un titre de propriété », continue de dénoncer le porte-parole du collectif qui alerte sur les agissements d’autres individus dans ces opérations illégales
« Des personnes malintentionnées se sont mêlées dans cette affaire pour tirer aussi profit de ces opérations de vente et d'occupation illégale de parcelles. C'est devenu un méli-mélo malgré les multiples arrestations dont ils ont été l'objet. Ils sont en liberté provisoire mais continuent de belle manière à squatter ce site pour mener des tractations suspectes sur les terrains nus dont certains propriétaires sont à l'étranger, d'autres décédés, d'autres non encore prêts », alerte ce dernier /
Il revient à la charge, « malgré les multiples arrestations et les rappels à l'ordre des autorités compétentes, les spoliateurs fonciers continuent leurs activités illégales, semant ainsi le trouble et l'incertitude dans la communauté ».
Les membres du collectif expriment leur profonde préoccupation face à cette situation persistante, qui prive les acquéreurs légitimes de leurs droits de propriété.