« Depuis 2012, j’attire l'attention sur les dangers d’une caution dont le montant est exorbitant et sur la problématique du financement des partis. 65 millions c’est trop », a clamé le leader de Car Leneen, ce lundi, dans un communiqué envoyé à Leral. Selon Amsatou Sow Sidibé, la solution réside moins sur la caution que la rationalisation des partis politiques et de leur financement, qui souffre d'un vide juridique. Elle explique que « la possibilité de participer aux élections est un droit politique fondamental prévu par le pacte international de 1966 sur les droits civils et politiques et les conventions internationales dont le Sénégal est partie ». D’ailleurs, dit-elle, « les difficultés à collecter des financements pour une campagne électorale ne sauraient justifier aucune compromission ». Mais, ajoute-elle, il est temps de prendre en charge la question du financement des partis et, en même temps, celle majeure de la caution, dans le cadre dune procédure participative, large et consensuelle.
Après les récentes révélations faites sur l’affaire Lamine Diack, où la question des financements des partis politiques est revenue très largement, Mme Sidibé estime que le Sénégal doit profiter de cette affaire pour élucider la question en profondeur. « Du fait des vagues soulevées en ce moment, nous tenons une opportunité historique pour régler définitivement ces problèmes. Il s'agit, au-delà des préoccupations d'équité, d’épargner à notre pays l’anéantissement des forces politiques émergentes qui apportent un souffle nouveau à la vie politique nationale », dit-elle. Et le ministre-conseiller de dire que « la question centrale à laquelle nous devons répondre est de savoir comment nous assurer que, désormais dans notre pays, l'argent ne sera plus prépondérant devant la vision, les programmes et l'idéologie ».
Après les récentes révélations faites sur l’affaire Lamine Diack, où la question des financements des partis politiques est revenue très largement, Mme Sidibé estime que le Sénégal doit profiter de cette affaire pour élucider la question en profondeur. « Du fait des vagues soulevées en ce moment, nous tenons une opportunité historique pour régler définitivement ces problèmes. Il s'agit, au-delà des préoccupations d'équité, d’épargner à notre pays l’anéantissement des forces politiques émergentes qui apportent un souffle nouveau à la vie politique nationale », dit-elle. Et le ministre-conseiller de dire que « la question centrale à laquelle nous devons répondre est de savoir comment nous assurer que, désormais dans notre pays, l'argent ne sera plus prépondérant devant la vision, les programmes et l'idéologie ».