Pour ce qui est des actes répréhensibles, l’organisation citoyenne estime que les auteurs de violence être sanctionnés en mettant en avant la dimension pédagogique. Aussi, faut-il accentuer la sensibilisation dans la lutte contre la violence en milieu scolaire par la sensibilisation des enseignants et des élèves sur ce phénomène, les règles de la vie scolaire, le respect des institutions et le civisme.
Dans le même sillage, des rencontres périodiques entre parents d’élèves et personnel pédagogique devraient également être formalisées. Il urge aussi d’agir sur la qualité de la formation pour le retour aux valeurs. Il s’agit notamment de restaurer l’éducation civique dans tous les cycles et de renforcer la formation des enseignants et du personnel d’encadrement.
Les programmes devront être adaptés aux réalités culturelles en plus d’améliorer le cadre des lieux d’apprentissages. Entre autres recommandations, la Cosydep propose de sécuriser les établissements scolaires par des murs de clôture, le gardiennage, le rejet de toute forme de cantinisation etc.
A cela, s’ajoute des aménagements adaptés tels que des toilettes fonctionnelles, des points d’eau, un espace d’épanouissement, ainsi qu’un personnel de soutien conséquent (surveillants, assistants sociaux, ...).
Le cadre des établissements devra aussi être attrayant et instructif avec des graffitis portant des messages de paix et de tolérance.
Selon toujours les acteurs de l’éducation, il faut également disposer de cadres fonctionnels de dialogue. Il s’agit de redonner au foyer socio-éducatif toute sa place dans le dispositif de gestion de l’école. Pour ce faire, des comités de veille et d’alerte qui responsabilisent les apprenants devront être installés.
Tout en faisant attention aux effets négatifs, c'est-à -dire l'effet établissement : une mauvaise réputation de l’école qui inhibe les apprenants dès le départ et les amène à adopter des attitudes marginales ; l’effet classe : une classe concentrant des enseignants considérés comme peu motivés ouvre la porte au découragement à ses pensionnaires ; ainsi que l’effet maître : l’enseignant dont les prestations pédagogiques sont mal appréciées par ses élèves, corrélativement, adopte une attitude de défiance
Dans le même sillage, des rencontres périodiques entre parents d’élèves et personnel pédagogique devraient également être formalisées. Il urge aussi d’agir sur la qualité de la formation pour le retour aux valeurs. Il s’agit notamment de restaurer l’éducation civique dans tous les cycles et de renforcer la formation des enseignants et du personnel d’encadrement.
Les programmes devront être adaptés aux réalités culturelles en plus d’améliorer le cadre des lieux d’apprentissages. Entre autres recommandations, la Cosydep propose de sécuriser les établissements scolaires par des murs de clôture, le gardiennage, le rejet de toute forme de cantinisation etc.
A cela, s’ajoute des aménagements adaptés tels que des toilettes fonctionnelles, des points d’eau, un espace d’épanouissement, ainsi qu’un personnel de soutien conséquent (surveillants, assistants sociaux, ...).
Le cadre des établissements devra aussi être attrayant et instructif avec des graffitis portant des messages de paix et de tolérance.
Selon toujours les acteurs de l’éducation, il faut également disposer de cadres fonctionnels de dialogue. Il s’agit de redonner au foyer socio-éducatif toute sa place dans le dispositif de gestion de l’école. Pour ce faire, des comités de veille et d’alerte qui responsabilisent les apprenants devront être installés.
Tout en faisant attention aux effets négatifs, c'est-à -dire l'effet établissement : une mauvaise réputation de l’école qui inhibe les apprenants dès le départ et les amène à adopter des attitudes marginales ; l’effet classe : une classe concentrant des enseignants considérés comme peu motivés ouvre la porte au découragement à ses pensionnaires ; ainsi que l’effet maître : l’enseignant dont les prestations pédagogiques sont mal appréciées par ses élèves, corrélativement, adopte une attitude de défiance