1 - la fiabilité des données, le suivi évaluation et la restructuration des secteurs du travail et de l’emploi
• Nous doterons l’ANSD de moyens financiers et humains suffisants pour lui permettre de fournir des données statistiques fiables afin de suivre et de corriger l’évolution du secteur du travail et de l’emploi des jeunes, des femmes et moins jeunes et de mesurer réellement la masse de jeunes qui arrivent sur le marché du travail ;
• Nous harmoniserons les agences gouvernementales autour de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes et augmenterons considérablement le budget du ministère du travail et de l’emploi ;
• Nous créerons une seule agence gouvernementale portant les politiques d’emploi dénommée la Grande Agence Gouvernementale sur l’Emploi et le Travail (GAGET) et un bureau du suivi-évaluation des politiques d’emploi et de travail ;
• Nous mettrons en place un ambitieux programme d’accompagnement des jeunes diplômés. Ce programme « Goungué » sera implémenté par notre premier gouvernement afin d’accompagner l’insertion des diplômés de l’enseignement technique et la formation professionnelle et promouvoir l’auto-emploi ;
• Nous nous attèlerons à la mise en place de la Maison des Entreprises Régionales (MER) et des espaces de coworking des autoentrepreneurs et la création d’un régime de protection et d’assurance sociale des entrepreneurs ;
• Nous faciliterons l’accès à l’emploi des personnes handicapées en combattant toute discrimination fondée sur le handicap et en instituant, dans le décret d’application de l’article 29 de la Loi d’orientation sociale, des mesures incitatives pour encourager les employeurs qui engagent des personnes handicapées, ainsi que des mesures coercitives pour contraindre ceux qui ne respectent pas l’obligation d’emploi de personnes handicapées posée par ladite loi ;
• Nous encouragerons et accompagnerons les initiatives privées des personnes handicapées en matière de création d’entreprises individuelles, de petites et moyennes entreprises (PME), de coopératives de production et d’entreprises adaptées, tout en incitant les services de l’État et des collectivités territoriales à réserver une part de leurs marchés à de telles entreprises.
• Nous nous engageons à instituer le fonds d’appui qui aura également pour mission de favoriser l’accès et le maintien dans l’emploi des personnes handicapées.
2 - l’économie sociale et solidaire pour le développement inclusif du Sénégal
• Nous lutterons contre la pauvreté, l’exclusion et la vulnérabilité afin de permettre à toutes les couches de la population de mener une vie digne par la mise en place d’un Programme National de Solidarité et la création d’un Fonds National de Solidarité ;
• Nous développerons l’approche coopérative pour la création d’emplois et l’appui à la production à la base par la mise en place d’un Programme de développement de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) pour la création de richesses immédiates (PRECOSOL) ;
• Nous institutionnaliserons l’Économie Sociale et Solidaire comme levier du développement durable et local participatif et intégré au travers d’une approche projet et partenariat public-privé. Ceci passera par le Projet d’Appui au développement Social Local par l’ESS (PADESOL).
3 - le développement communautaire et l’équité sociale et territoriale
• Nous définirons une politique assortie d’un cadre d’intervention stratégique et opérationnel pour la promotion et l’efficacité des initiatives de développement à la base. Cela passe par le renforcement du Programme d’urgence de Développement communautaire ( PUDC) ;
• Nous lancerons un projet unifié de cartographie et d’orientation des infrastructures socioéconomiques de base (PUCIS) pour l’ensemble des acteurs qui interviennent dans le développement local afin d’assurer une rationalisation et une harmonisation des interventions à la base ;
• Nous renforcerons l’appui technique des initiatives d’auto-développement à la base pour une meilleure intervention des parties prenantes.
4 - le développement de la microfinance, un levier pour réduire le chômage et la pauvreté
• Nous mettrons en place un dispositif de couverture universelle de financement de la production et des acteurs du secteur informel à travers un Fonds d’appui à la production des acteurs à la base via un mécanisme de financement revolving de l’État et un montant déposé dans les institutions de microfinance pour un financement orienté et ciblé par l’Etat ;
• Nous créerons les conditions permettant de mettre en place une coopérative de crédit communautaire dans les 8 pôles de développement économique, ce qui permettrait aux adhérents d’être co-propriétaires et de veiller à l’épanouissement de ce projet ;
• Nous mettrons en place un Fonds d’impulsion et de promotion des initiatives entrepreneuriales pour octroyer des crédits pour le développement et la promotion des initiatives entrepreneuriales individuelles et collectives ;
• Nous mettrons en place un projet d’inclusion socio-économique sur le modèle d’économie réelle de la microfinance islamique afin de promouvoir l’accès à un financement accessible à toutes les catégories.
• Nous doterons l’ANSD de moyens financiers et humains suffisants pour lui permettre de fournir des données statistiques fiables afin de suivre et de corriger l’évolution du secteur du travail et de l’emploi des jeunes, des femmes et moins jeunes et de mesurer réellement la masse de jeunes qui arrivent sur le marché du travail ;
• Nous harmoniserons les agences gouvernementales autour de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes et augmenterons considérablement le budget du ministère du travail et de l’emploi ;
• Nous créerons une seule agence gouvernementale portant les politiques d’emploi dénommée la Grande Agence Gouvernementale sur l’Emploi et le Travail (GAGET) et un bureau du suivi-évaluation des politiques d’emploi et de travail ;
• Nous mettrons en place un ambitieux programme d’accompagnement des jeunes diplômés. Ce programme « Goungué » sera implémenté par notre premier gouvernement afin d’accompagner l’insertion des diplômés de l’enseignement technique et la formation professionnelle et promouvoir l’auto-emploi ;
• Nous nous attèlerons à la mise en place de la Maison des Entreprises Régionales (MER) et des espaces de coworking des autoentrepreneurs et la création d’un régime de protection et d’assurance sociale des entrepreneurs ;
• Nous faciliterons l’accès à l’emploi des personnes handicapées en combattant toute discrimination fondée sur le handicap et en instituant, dans le décret d’application de l’article 29 de la Loi d’orientation sociale, des mesures incitatives pour encourager les employeurs qui engagent des personnes handicapées, ainsi que des mesures coercitives pour contraindre ceux qui ne respectent pas l’obligation d’emploi de personnes handicapées posée par ladite loi ;
• Nous encouragerons et accompagnerons les initiatives privées des personnes handicapées en matière de création d’entreprises individuelles, de petites et moyennes entreprises (PME), de coopératives de production et d’entreprises adaptées, tout en incitant les services de l’État et des collectivités territoriales à réserver une part de leurs marchés à de telles entreprises.
• Nous nous engageons à instituer le fonds d’appui qui aura également pour mission de favoriser l’accès et le maintien dans l’emploi des personnes handicapées.
2 - l’économie sociale et solidaire pour le développement inclusif du Sénégal
• Nous lutterons contre la pauvreté, l’exclusion et la vulnérabilité afin de permettre à toutes les couches de la population de mener une vie digne par la mise en place d’un Programme National de Solidarité et la création d’un Fonds National de Solidarité ;
• Nous développerons l’approche coopérative pour la création d’emplois et l’appui à la production à la base par la mise en place d’un Programme de développement de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) pour la création de richesses immédiates (PRECOSOL) ;
• Nous institutionnaliserons l’Économie Sociale et Solidaire comme levier du développement durable et local participatif et intégré au travers d’une approche projet et partenariat public-privé. Ceci passera par le Projet d’Appui au développement Social Local par l’ESS (PADESOL).
3 - le développement communautaire et l’équité sociale et territoriale
• Nous définirons une politique assortie d’un cadre d’intervention stratégique et opérationnel pour la promotion et l’efficacité des initiatives de développement à la base. Cela passe par le renforcement du Programme d’urgence de Développement communautaire ( PUDC) ;
• Nous lancerons un projet unifié de cartographie et d’orientation des infrastructures socioéconomiques de base (PUCIS) pour l’ensemble des acteurs qui interviennent dans le développement local afin d’assurer une rationalisation et une harmonisation des interventions à la base ;
• Nous renforcerons l’appui technique des initiatives d’auto-développement à la base pour une meilleure intervention des parties prenantes.
4 - le développement de la microfinance, un levier pour réduire le chômage et la pauvreté
• Nous mettrons en place un dispositif de couverture universelle de financement de la production et des acteurs du secteur informel à travers un Fonds d’appui à la production des acteurs à la base via un mécanisme de financement revolving de l’État et un montant déposé dans les institutions de microfinance pour un financement orienté et ciblé par l’Etat ;
• Nous créerons les conditions permettant de mettre en place une coopérative de crédit communautaire dans les 8 pôles de développement économique, ce qui permettrait aux adhérents d’être co-propriétaires et de veiller à l’épanouissement de ce projet ;
• Nous mettrons en place un Fonds d’impulsion et de promotion des initiatives entrepreneuriales pour octroyer des crédits pour le développement et la promotion des initiatives entrepreneuriales individuelles et collectives ;
• Nous mettrons en place un projet d’inclusion socio-économique sur le modèle d’économie réelle de la microfinance islamique afin de promouvoir l’accès à un financement accessible à toutes les catégories.