Ce défenseur du droit des homosexuels de «vivre leur vie comme ils veulent et où ils veulent» a été, à plusieurs reprises, averti par son employeur qui n’a de cesse de lui intimer l’ordre de mettre fin à son soutien à ceux qui s’inscrivent en faux avec la moralité ambiante.
Renvoyé de son travail, il a continué cependant à promouvoir la cause des «indésirables». C’est à l’occasion d’une virée nocturne qu’il a été reconnu par des jeunes qui l’ont happé, lui ont arraché son téléphone et l’ont copieusement tabassé avant de le laisser pour mort. Il a dû son salut à des passants qui l’ont recueilli et amené aux urgences dans un centre de santé de la place. Entre la vie et la mort.
Selon des sources, même sa famille était incrédule. Elle ne comprend toujours pas pourquoi cet entêtement à défendre des homosexuels qui, radicalement, ne sont pas les bienvenus au Sénégal comme partout en Afrique en général où, au nom des principes religieux, l’on veuille scrupuleusement à la préservation de certaines valeurs et où l’on combat farouchement tout ce qui pourrait saper le substrat idéologique ainsi que la cohésion sociale.
A Ibrahima Bane et à tous les soutiens des Lgbt, il ne reste qu’à s’exiler vers des horizons plus «cléments» s’ils veulent continuer à promouvoir sans être inquiétés leurs «frères» Lgbt. À rappeler que récemment, les évêques africains ont rejeté en bloc la proposition du Pape François de bénir les couples de même sexe.
Renvoyé de son travail, il a continué cependant à promouvoir la cause des «indésirables». C’est à l’occasion d’une virée nocturne qu’il a été reconnu par des jeunes qui l’ont happé, lui ont arraché son téléphone et l’ont copieusement tabassé avant de le laisser pour mort. Il a dû son salut à des passants qui l’ont recueilli et amené aux urgences dans un centre de santé de la place. Entre la vie et la mort.
Selon des sources, même sa famille était incrédule. Elle ne comprend toujours pas pourquoi cet entêtement à défendre des homosexuels qui, radicalement, ne sont pas les bienvenus au Sénégal comme partout en Afrique en général où, au nom des principes religieux, l’on veuille scrupuleusement à la préservation de certaines valeurs et où l’on combat farouchement tout ce qui pourrait saper le substrat idéologique ainsi que la cohésion sociale.
A Ibrahima Bane et à tous les soutiens des Lgbt, il ne reste qu’à s’exiler vers des horizons plus «cléments» s’ils veulent continuer à promouvoir sans être inquiétés leurs «frères» Lgbt. À rappeler que récemment, les évêques africains ont rejeté en bloc la proposition du Pape François de bénir les couples de même sexe.