Si le lycée Malick Sy de Thiès a vu passer de brillants élèves de la trempe des professeurs Moustapha Sourang et Serigne Diop, Assane Diagne, Abdoulaye Diop , Cheikh Hadjibou Soumaré et Amadou Kane, entre autres, tous anciens Ministres et grands serviteurs de l’Etat, il est permis d’affirmer avec force que le général Jean Baptiste Tine est au sein de ce cénacle restreint.
Mes deux grand-frères , Cheikh Tidiane Dièye, le journaliste philosophe , ancien conseiller en communication du Président Abdou Diouf et Mamadou Chérif Thiam, spécialiste en Sociologie des médias, expert en régulation et Totem de la médiature de la République, tous produits du Lycée Malick Sy et proches collaborateurs et conseillers du Magazine Regards, ne me démentiront pas. Authentique fils de Thiès, terre de refus, de noblesse et de bravoure, capitale du Rail, Jean Baptiste Tine est né et a grandi dans le casernement sous l’autorité de son père.
Tel Père, Tel Fils
Copie conforme de son valeureux père, le Colonel André Tine qui fut l’un des meilleurs commandants de compagnie que la gendarmerie ait connus, le Général Jean Baptiste Tine est un délice d’humilité, de compétence et de rigueur, des qualités remarquables qui lui ont permis d’atteindre l’échelon le plus élevé de la maréchaussée, à savoir le poste tant convoité de haut Commandant de la gendarmerie. Une nomination à l’époque qui a sacré et consacré un brillant parcours, sans faute.
Partout où il est passé, Jean Baptiste Tine a servi avec loyauté, dévouement et abnégation dans les diverses positions de commandement, surtout dans les structures opérationnelles de la gendarmerie territoriale. Il a exercé des responsabilités en école mais aussi en état-major à caractère national, international, interministériel, interarmées et multinational.
Sa mère Adèle Mbaye, une dame vertueuse qui l’a couvé avec affection et tendresse l’a beaucoup marqué. Père de famille exemplaire, Jean Baptiste Tine a de qui tenir. Très épanoui à l’ombre de son épouse bien aimée, notre sœur et consœur Seynabou Cor, journaliste chevronnée qui a fait les beaux jours de Radio Sénégal (RTS), qu’elle a dirigée avec brio et compétence.
Pour l’histoire aussi, sa douce moitié Nabou pour les intimes, fut conseiller en communication du Premier Ministre Macky Sall. A ses deux enfants André Tine et Joachim Conse Ibrahima Tine, connus pour leur effacement non feint, le Général Jean Baptiste Tine a su inculquer les valeurs de patriotisme, de loyauté, de discipline et de civisme au service de la patrie à tout instant. Intellectuel fécond et profond, Jean Baptiste Tine, tête pleine et bien faite est un homme structuré, à l’esprit vif et alerte doté d’une culture encyclopédique.
Passionné de lecture, surtout des livres militaires et des œuvres de guerres, Jean Baptiste Tine raffole de littérature. Son ouverture d’esprit et sa curiosité intellectuelle ne se limitent pas seulement aux questions de défense et de sécurité. Outre la lecture, la musique, le football et l’équitation sont ses hobbies.
Si le «Ngourbane» est son plat préféré, Jean Baptiste Tine, en bon sérère, raffole de «Thiéré». Dans le cercle restreint de ses amitiés, on peut compter les colonels Abdou Aziz Ndao et Ismaïla Fall de la gendarmerie.
Son grand frère Célestin Marie Tine, ancien directeur de l’éducation populaire est son homme de confiance qui s’occupe de toutes les questions familiales. Pour rappel, lors de son installation à la tête de la gendarmerie nationale, et parce que j’ai eu l’insigne honneur de faire partie de ses invités, il disait à ses administrés, je le cite: «j’entends vous commander avec justice, justesse et mesure».
Ainsi, il avait décliné son ambition autour de trois axes : l’intensification de l’activité opérationnelle, l’adéquation des missions dédiées à la gendarmerie avec les équipements et infrastructures nécessaires et enfin l’amélioration de la condition sociale du personnel. Homme de terrain, doublé d’un as de la sécurité, Jean Baptiste Tine avait inscrit son commandement dans la loyauté, la rigueur, la légalité, le sérieux, et la discipline militaire.
Assurément, l’héritage de ses valeureux prédécesseurs, entrés dans l’histoire que sont les généraux Ameth Fall, Tamsir Omar Bâ, Alioune Badara Konté, Jean Alfred Diallo, Wally Faye, François Gomis, Pathé Seck, Abdoulaye Fall, Mamadou Gueye Faye, Meïssa Niang et Cheikh Sène, était entre de bonnes mains. Pour l’histoire, Jean Baptiste Tine est diplômé de la prestigieuse Académie royale militaire de Meknès au Maroc.
Il est également diplômé de l’École des officiers de la Gendarmerie nationale de Melun en France. Connu pour son engagement, sa compétence et sa loyauté, il a eu un parcours de plus de 30 ans de service.
Durant son parcours, il a occupé divers postes au sein de la Gendarmerie nationale, tant dans les unités mobiles que dans les compagnies territoriales, et a su mettre en valeur son talent et ses capacités managériales. Ces fonctions assumées lui avait permis d’avoir une vision large de la Gendarmerie nationale.
Commandant de la compagnie de Saint-Louis entre août 1994 et août 1995, commandant de la compagnie de Ziguinchor de septembre 1995 à mars 1996, le général Tine avait dirigé aussi l’escadron blindé de la Légion de gendarmerie d’intervention de 1989 à 1994. Il est revenu à la Légion de gendarmerie d’intervention en 2003. Il a également été commandant des écoles de la gendarmerie, marquant ainsi plusieurs générations de gendarmes.
Le général Tine a été à l’origine de grandes réformes de la gendarmerie mobile et de son déploiement sur l’ensemble du territoire national. La réforme de la logistique de la gendarmerie et l’élaboration des manuels pratiques dans ce domaine portent son empreinte.
Depuis son entrée en service à la gendarmerie le 1er septembre 1981, le général Tine a gravi tous les échelons. Il est passé sous-lieutenant le 1er octobre 1984, lieutenant en 1986, capitaine en 1991, chef d’escadron à partir de 1997, puis a été nommé lieutenant-colonel en 2003 et colonel en 2006.
Après une mission accomplie à la tête de la gendarmerie, Jean Baptiste Tine fut nommé ensuite Ambassadeur en Russie, sous le magistère du Président Macky Sall. C’est de cette station prestigieuse qu’il a été promu Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique par le Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Lors de la passation de service au Ministère de l’Intérieur, son prédécesseur Mouhamadou Makhtar Cissé, brillant inspecteur général d’Etat, n’avait pas manqué de tarir d’éloges sur le Général Jean Baptiste Tine.
Il disait de lui que «le Général Tine est un homme du sérail, plus outillé que ma modeste personne. Ce que je sais de mon successeur, c’est quelqu’un de calme, de compétent et de juste. Vu son parcours au sein de la gendarmerie, sa réussite dans la gestion de la sécurité intérieure ne souffre d’aucun doute…».
Au surplus, le haut gradé est doublé d’un intellectuel de haute facture L’actuel ministre de l’Intérieur du Sénégal a, en effet, soutenu sa thèse de doctorat intitulée « La gouvernance sécuritaire en Afrique de l’Ouest à l’ère des nouvelles menaces : enjeux et défis dans la zone saharo sahélienne ».
Mes deux grand-frères , Cheikh Tidiane Dièye, le journaliste philosophe , ancien conseiller en communication du Président Abdou Diouf et Mamadou Chérif Thiam, spécialiste en Sociologie des médias, expert en régulation et Totem de la médiature de la République, tous produits du Lycée Malick Sy et proches collaborateurs et conseillers du Magazine Regards, ne me démentiront pas. Authentique fils de Thiès, terre de refus, de noblesse et de bravoure, capitale du Rail, Jean Baptiste Tine est né et a grandi dans le casernement sous l’autorité de son père.
Tel Père, Tel Fils
Copie conforme de son valeureux père, le Colonel André Tine qui fut l’un des meilleurs commandants de compagnie que la gendarmerie ait connus, le Général Jean Baptiste Tine est un délice d’humilité, de compétence et de rigueur, des qualités remarquables qui lui ont permis d’atteindre l’échelon le plus élevé de la maréchaussée, à savoir le poste tant convoité de haut Commandant de la gendarmerie. Une nomination à l’époque qui a sacré et consacré un brillant parcours, sans faute.
Partout où il est passé, Jean Baptiste Tine a servi avec loyauté, dévouement et abnégation dans les diverses positions de commandement, surtout dans les structures opérationnelles de la gendarmerie territoriale. Il a exercé des responsabilités en école mais aussi en état-major à caractère national, international, interministériel, interarmées et multinational.
Sa mère Adèle Mbaye, une dame vertueuse qui l’a couvé avec affection et tendresse l’a beaucoup marqué. Père de famille exemplaire, Jean Baptiste Tine a de qui tenir. Très épanoui à l’ombre de son épouse bien aimée, notre sœur et consœur Seynabou Cor, journaliste chevronnée qui a fait les beaux jours de Radio Sénégal (RTS), qu’elle a dirigée avec brio et compétence.
Pour l’histoire aussi, sa douce moitié Nabou pour les intimes, fut conseiller en communication du Premier Ministre Macky Sall. A ses deux enfants André Tine et Joachim Conse Ibrahima Tine, connus pour leur effacement non feint, le Général Jean Baptiste Tine a su inculquer les valeurs de patriotisme, de loyauté, de discipline et de civisme au service de la patrie à tout instant. Intellectuel fécond et profond, Jean Baptiste Tine, tête pleine et bien faite est un homme structuré, à l’esprit vif et alerte doté d’une culture encyclopédique.
Passionné de lecture, surtout des livres militaires et des œuvres de guerres, Jean Baptiste Tine raffole de littérature. Son ouverture d’esprit et sa curiosité intellectuelle ne se limitent pas seulement aux questions de défense et de sécurité. Outre la lecture, la musique, le football et l’équitation sont ses hobbies.
Si le «Ngourbane» est son plat préféré, Jean Baptiste Tine, en bon sérère, raffole de «Thiéré». Dans le cercle restreint de ses amitiés, on peut compter les colonels Abdou Aziz Ndao et Ismaïla Fall de la gendarmerie.
Son grand frère Célestin Marie Tine, ancien directeur de l’éducation populaire est son homme de confiance qui s’occupe de toutes les questions familiales. Pour rappel, lors de son installation à la tête de la gendarmerie nationale, et parce que j’ai eu l’insigne honneur de faire partie de ses invités, il disait à ses administrés, je le cite: «j’entends vous commander avec justice, justesse et mesure».
Ainsi, il avait décliné son ambition autour de trois axes : l’intensification de l’activité opérationnelle, l’adéquation des missions dédiées à la gendarmerie avec les équipements et infrastructures nécessaires et enfin l’amélioration de la condition sociale du personnel. Homme de terrain, doublé d’un as de la sécurité, Jean Baptiste Tine avait inscrit son commandement dans la loyauté, la rigueur, la légalité, le sérieux, et la discipline militaire.
Assurément, l’héritage de ses valeureux prédécesseurs, entrés dans l’histoire que sont les généraux Ameth Fall, Tamsir Omar Bâ, Alioune Badara Konté, Jean Alfred Diallo, Wally Faye, François Gomis, Pathé Seck, Abdoulaye Fall, Mamadou Gueye Faye, Meïssa Niang et Cheikh Sène, était entre de bonnes mains. Pour l’histoire, Jean Baptiste Tine est diplômé de la prestigieuse Académie royale militaire de Meknès au Maroc.
Il est également diplômé de l’École des officiers de la Gendarmerie nationale de Melun en France. Connu pour son engagement, sa compétence et sa loyauté, il a eu un parcours de plus de 30 ans de service.
Durant son parcours, il a occupé divers postes au sein de la Gendarmerie nationale, tant dans les unités mobiles que dans les compagnies territoriales, et a su mettre en valeur son talent et ses capacités managériales. Ces fonctions assumées lui avait permis d’avoir une vision large de la Gendarmerie nationale.
Commandant de la compagnie de Saint-Louis entre août 1994 et août 1995, commandant de la compagnie de Ziguinchor de septembre 1995 à mars 1996, le général Tine avait dirigé aussi l’escadron blindé de la Légion de gendarmerie d’intervention de 1989 à 1994. Il est revenu à la Légion de gendarmerie d’intervention en 2003. Il a également été commandant des écoles de la gendarmerie, marquant ainsi plusieurs générations de gendarmes.
Le général Tine a été à l’origine de grandes réformes de la gendarmerie mobile et de son déploiement sur l’ensemble du territoire national. La réforme de la logistique de la gendarmerie et l’élaboration des manuels pratiques dans ce domaine portent son empreinte.
Depuis son entrée en service à la gendarmerie le 1er septembre 1981, le général Tine a gravi tous les échelons. Il est passé sous-lieutenant le 1er octobre 1984, lieutenant en 1986, capitaine en 1991, chef d’escadron à partir de 1997, puis a été nommé lieutenant-colonel en 2003 et colonel en 2006.
Après une mission accomplie à la tête de la gendarmerie, Jean Baptiste Tine fut nommé ensuite Ambassadeur en Russie, sous le magistère du Président Macky Sall. C’est de cette station prestigieuse qu’il a été promu Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique par le Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Lors de la passation de service au Ministère de l’Intérieur, son prédécesseur Mouhamadou Makhtar Cissé, brillant inspecteur général d’Etat, n’avait pas manqué de tarir d’éloges sur le Général Jean Baptiste Tine.
Il disait de lui que «le Général Tine est un homme du sérail, plus outillé que ma modeste personne. Ce que je sais de mon successeur, c’est quelqu’un de calme, de compétent et de juste. Vu son parcours au sein de la gendarmerie, sa réussite dans la gestion de la sécurité intérieure ne souffre d’aucun doute…».
Au surplus, le haut gradé est doublé d’un intellectuel de haute facture L’actuel ministre de l’Intérieur du Sénégal a, en effet, soutenu sa thèse de doctorat intitulée « La gouvernance sécuritaire en Afrique de l’Ouest à l’ère des nouvelles menaces : enjeux et défis dans la zone saharo sahélienne ».
A l’issue de cette soutenance, le Général Jean-Baptiste Tine s’est vu attribuer la mention « Très Honorable avec les félicitations du jury ». Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique avait saisi cette occasion pour exprimer encore, avec humilité, sa satisfaction.
« Je m’honore humblement de mon titre de Docteur ».
Assurément, s’il existe un officier supérieur, de surcroît un général, dont l’humilité en bandoulière est connue de tous, c’est bel et bien, toutes proportions gardées JeanBaptiste Tine. Dans l’histoire des armées, difficile de trouver un chef aussi humble, ouvert et disponible que l’ex Haut commandant de la gendarmerie et directeur de la justice militaire, aujourd’hui Ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, dont la préoccupation quotidienne est de veiller sur la quiétude de ses compatriotes.
Sa grande maîtrise de l’art de commander les hommes pour relever les défis et en sortir victorieux laisse présager que les élections législatives du 17 Novembre 2024 seront libres, parfaitement organisées, transparentes et incontestablement régulières pour ce qui relève de la responsabilité de son ministère et des services qui lui sont rattachés.
Républicain par choix, soldat dans l’âme, attaché au code d’honneur de son corps prestigieux, fondamentalement enraciné dans le socle des valeurs culturelles si fécondes de ses ancêtres sérères, le général Jean Baptiste Tine est certainement un gage de bonne réussite de ce temps fort de la marche démocratique résolue du Sénégal qui est unanimement reconnue. Il en sera de même face à l’immense défi de la sécurité intérieure, son autre challenge. Avec lui, l’espoir est permis.
Abdoulaye Fofana Seck Photo
Magazine Regards
« Je m’honore humblement de mon titre de Docteur ».
Assurément, s’il existe un officier supérieur, de surcroît un général, dont l’humilité en bandoulière est connue de tous, c’est bel et bien, toutes proportions gardées JeanBaptiste Tine. Dans l’histoire des armées, difficile de trouver un chef aussi humble, ouvert et disponible que l’ex Haut commandant de la gendarmerie et directeur de la justice militaire, aujourd’hui Ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, dont la préoccupation quotidienne est de veiller sur la quiétude de ses compatriotes.
Sa grande maîtrise de l’art de commander les hommes pour relever les défis et en sortir victorieux laisse présager que les élections législatives du 17 Novembre 2024 seront libres, parfaitement organisées, transparentes et incontestablement régulières pour ce qui relève de la responsabilité de son ministère et des services qui lui sont rattachés.
Républicain par choix, soldat dans l’âme, attaché au code d’honneur de son corps prestigieux, fondamentalement enraciné dans le socle des valeurs culturelles si fécondes de ses ancêtres sérères, le général Jean Baptiste Tine est certainement un gage de bonne réussite de ce temps fort de la marche démocratique résolue du Sénégal qui est unanimement reconnue. Il en sera de même face à l’immense défi de la sécurité intérieure, son autre challenge. Avec lui, l’espoir est permis.
Abdoulaye Fofana Seck Photo
Magazine Regards