Dans cette affaire, le tribunal correctionnel a estimé que les faits pour lesquels Zaïnab Taha, ex épouse de Moussa Mboup était poursuivie sont établis. Il s’agissait notamment de coups et blessures à conjoint et voies de fait. C’est pourquoi les juges n’ont pas cherché midi à quatorze heures pour la condamner.
Dans les faits, Zaïnab Taha avait appelé Monsieur Moussa Mboup à discuter des modalités de leur séparation et notamment de la garde des enfants. Seulement, c’est au cours des discussions que Moussa Mboup a remarqué qu'elle était en train d'enregistrer la conversation à travers un téléphone posé sur la table.
L’époux lui demande alors d’effacer l’enregistrement et sort tranquillement du domicile. Seulement, Zaïnab va le poursuivre jusqu’aux escaliers en se jetant sur lui, s’agrippant sur lui et déchirant l’habit que portait son mari devant la femme de ménage, témoin des faits.
Des faits qui seront confirmé par le visionnage des vidéos des caméras de surveillance installées dans la maison. Lesquelles images vont être confirmées par la femme de ménage, témoin des faits.
Ce sont ces éléments probants qui avaient d’ailleurs conduit au cours de l’instruction de cette affaire au placement sous le régime de la garde-à -vue de Zaïnab Taha pour 72h avant qu’elle ne bénéficie d’une liberté provisoire.
C’est au vu de tous ces éléments, notamment des charges accablantes confirmées que le tribunal correctionnel a rendu son verdict hier en condamnant Zaïnab Taha à une peine de prison d’un mois assortie de sursis et une amende de cinq cent mille francs à payer à Moussa Mboup avec exécution provisoire et contrainte par corps au maximum pour coups et blessures volontaires à conjoint et voies de fait
Tribune
Dans les faits, Zaïnab Taha avait appelé Monsieur Moussa Mboup à discuter des modalités de leur séparation et notamment de la garde des enfants. Seulement, c’est au cours des discussions que Moussa Mboup a remarqué qu'elle était en train d'enregistrer la conversation à travers un téléphone posé sur la table.
L’époux lui demande alors d’effacer l’enregistrement et sort tranquillement du domicile. Seulement, Zaïnab va le poursuivre jusqu’aux escaliers en se jetant sur lui, s’agrippant sur lui et déchirant l’habit que portait son mari devant la femme de ménage, témoin des faits.
Des faits qui seront confirmé par le visionnage des vidéos des caméras de surveillance installées dans la maison. Lesquelles images vont être confirmées par la femme de ménage, témoin des faits.
Ce sont ces éléments probants qui avaient d’ailleurs conduit au cours de l’instruction de cette affaire au placement sous le régime de la garde-à -vue de Zaïnab Taha pour 72h avant qu’elle ne bénéficie d’une liberté provisoire.
C’est au vu de tous ces éléments, notamment des charges accablantes confirmées que le tribunal correctionnel a rendu son verdict hier en condamnant Zaïnab Taha à une peine de prison d’un mois assortie de sursis et une amende de cinq cent mille francs à payer à Moussa Mboup avec exécution provisoire et contrainte par corps au maximum pour coups et blessures volontaires à conjoint et voies de fait
Tribune