Le quartier «Deuxième robinet» de Pikine a récemment vécu
un drame. Une altercation entre deux filles «mineures» dont
les identités et les noms n'ont pas été révélés, a viré au drame.
L'une de protagonistes est décédée à la suite de son
évacuation dans une structure de santé. Elle a été poignardée
avec une pique à cheveux.
La victime est la fille d'un commissaire de police ayant
notamment servi dans la banlieue et d'une juge du tribunal de
grande instance de Pikine, renseigne Les Échos, repris par Seneweb. Elle passait ses vacances scolaires dans le quartier et, avec sa meurtrière présumée, revenait de cours d'enseignement du Coran, souligne le journal.
La même source rapporte que juste après l'incident, avant le
décès de la victime, les deux familles avaient engagé les
conciliabules. Mais dès que cette dernière a succombé à ses
blessures, une plainte a été déposée au commissariat
d'arrondissement de Pikine, rapporte Les Échos. Qui conclut
que la mise en cause a été aussitôt arrêtée et déférée au
parquet de Pikine.
un drame. Une altercation entre deux filles «mineures» dont
les identités et les noms n'ont pas été révélés, a viré au drame.
L'une de protagonistes est décédée à la suite de son
évacuation dans une structure de santé. Elle a été poignardée
avec une pique à cheveux.
La victime est la fille d'un commissaire de police ayant
notamment servi dans la banlieue et d'une juge du tribunal de
grande instance de Pikine, renseigne Les Échos, repris par Seneweb. Elle passait ses vacances scolaires dans le quartier et, avec sa meurtrière présumée, revenait de cours d'enseignement du Coran, souligne le journal.
La même source rapporte que juste après l'incident, avant le
décès de la victime, les deux familles avaient engagé les
conciliabules. Mais dès que cette dernière a succombé à ses
blessures, une plainte a été déposée au commissariat
d'arrondissement de Pikine, rapporte Les Échos. Qui conclut
que la mise en cause a été aussitôt arrêtée et déférée au
parquet de Pikine.