La tension notée dans les hydrocarbures s’est ressentie à Sédhiou. Les chauffeurs de véhicules de transport en commun, de véhicules particuliers, les conducteurs de motos Jakarta sont confrontés à d’énormes difficultés pour y trouver du carburant. Les cuves des deux stations d’essence dont dispose la commune sont vides.
Certains conducteurs sont ainsi obligés de se ravitailler chez les vendeurs clandestins de carburant pour assurer le transport dans la ville de Sédhiou. A la gare routière, où nous nous sommes rendus, plusieurs véhicules y sont stationnés, faute de carburant.
Moustapha Kouyaté, porte-parole de la gare routière de Sédhiou, explique que la rupture est un fait habituel dans la commune de Sédhiou.
«Ce n’est pas la première fois. Les pénuries de carburant sont récurrentes ici à Sédhiou. On constate que chaque mois, il y a pénurie. On ne sait pas quel est le problème. C’est une situation difficile. Parfois on appelle nos camarades de Carrefour, de Kolda ou de Ziguinchor pour qu’ils nous achètent du carburant et le temps qu’on reçoive le carburant, nous sommes obligés de garer nos véhicules. Rien ne bouge. Vraiment cela ne nous arrange pas», déplore Kouyaté
Zakaria Doucouré, venu chercher de l’essence avec son véhicule particulier à la station, se désole lui aussi de cette rupture et ne sait pas comment il va retourner dans son village situé à une trentaine de kilomètres de Sédhiou.
«Il n’y pas de gasoil, il n’y pas d’essence. Il n’y a rien. Je ne peux pas retourner dans mon village, parce que je n’ai pas d’essence pour y retourner. Cette rupture se répète plusieurs fois dans le mois. Nous avons ce problème de carburant à Sédhiou. C‘est vraiment un problème sérieux», se lamente-t-il.
Cette pénurie touche également les conducteurs de motos Jakarta qui ont déjà augmenté le prix du transport dans la commune de Sédhiou. Les usagers payaient 200 francs, mais la récurrence du manque d’essence a fait que les habitants de Sédhiou sont obligés de débourser 300 francs pour bénéficier du service des conducteurs de motos Jakarta à Sédhiou.
Ces jeunes se ravitaillent chez les vendeurs clandestins de carburant. Et depuis le début de la semaine, les policiers sont en train de mener des patrouilles pour traquer les vendeurs clandestins d’essence dans la commune
Keïta, jeune conducteur, dit qu’ils sont obligés d’acheter le litre d’essence à 1300 francs Cfa ou même plus pour pouvoir travailler. Car aujourd’hui, les stations ne disposent pas de carburant. Donc, c’est la raison pour laquelle ils ont décidé d’élever le coût du transport à 300 francs.
Ababacar Seck, un usager, juge cette hausse anormale. Il juge que c’est «anormal, parce qu’à Sédhiou, la bourse est maigre et le chômage est accentué. Et compte tenu de ces fléaux, je crois que, en tout cas, ils pouvaient laisser les tarifs précédents. C’est-à -dire les 200 francs».
Les transporteurs demandent aux fils de la localité de venir investir dans le secteur pour corriger la fréquence des pénuries de carburant qui porte un coup aux chauffeurs et usagers. Mais ils ont également demandé à la mairie de faciliter l’implantation des stations aux personnes qui souhaiteraient venir investir dans but de favoriser l’emploi des jeunes.
Certains conducteurs sont ainsi obligés de se ravitailler chez les vendeurs clandestins de carburant pour assurer le transport dans la ville de Sédhiou. A la gare routière, où nous nous sommes rendus, plusieurs véhicules y sont stationnés, faute de carburant.
Moustapha Kouyaté, porte-parole de la gare routière de Sédhiou, explique que la rupture est un fait habituel dans la commune de Sédhiou.
«Ce n’est pas la première fois. Les pénuries de carburant sont récurrentes ici à Sédhiou. On constate que chaque mois, il y a pénurie. On ne sait pas quel est le problème. C’est une situation difficile. Parfois on appelle nos camarades de Carrefour, de Kolda ou de Ziguinchor pour qu’ils nous achètent du carburant et le temps qu’on reçoive le carburant, nous sommes obligés de garer nos véhicules. Rien ne bouge. Vraiment cela ne nous arrange pas», déplore Kouyaté
Zakaria Doucouré, venu chercher de l’essence avec son véhicule particulier à la station, se désole lui aussi de cette rupture et ne sait pas comment il va retourner dans son village situé à une trentaine de kilomètres de Sédhiou.
«Il n’y pas de gasoil, il n’y pas d’essence. Il n’y a rien. Je ne peux pas retourner dans mon village, parce que je n’ai pas d’essence pour y retourner. Cette rupture se répète plusieurs fois dans le mois. Nous avons ce problème de carburant à Sédhiou. C‘est vraiment un problème sérieux», se lamente-t-il.
Cette pénurie touche également les conducteurs de motos Jakarta qui ont déjà augmenté le prix du transport dans la commune de Sédhiou. Les usagers payaient 200 francs, mais la récurrence du manque d’essence a fait que les habitants de Sédhiou sont obligés de débourser 300 francs pour bénéficier du service des conducteurs de motos Jakarta à Sédhiou.
Ces jeunes se ravitaillent chez les vendeurs clandestins de carburant. Et depuis le début de la semaine, les policiers sont en train de mener des patrouilles pour traquer les vendeurs clandestins d’essence dans la commune
Keïta, jeune conducteur, dit qu’ils sont obligés d’acheter le litre d’essence à 1300 francs Cfa ou même plus pour pouvoir travailler. Car aujourd’hui, les stations ne disposent pas de carburant. Donc, c’est la raison pour laquelle ils ont décidé d’élever le coût du transport à 300 francs.
Ababacar Seck, un usager, juge cette hausse anormale. Il juge que c’est «anormal, parce qu’à Sédhiou, la bourse est maigre et le chômage est accentué. Et compte tenu de ces fléaux, je crois que, en tout cas, ils pouvaient laisser les tarifs précédents. C’est-à -dire les 200 francs».
Les transporteurs demandent aux fils de la localité de venir investir dans le secteur pour corriger la fréquence des pénuries de carburant qui porte un coup aux chauffeurs et usagers. Mais ils ont également demandé à la mairie de faciliter l’implantation des stations aux personnes qui souhaiteraient venir investir dans but de favoriser l’emploi des jeunes.