Depuis plusieurs années, les employés revendiquent le paiement de plus de quatre ans d’arriérés de salaire. Selon eux, le Directeur général de l’agence, Babacar Fall, continue de faire la sourde oreille.
Face à l’inaction des instances de médiation — Inspection du travail, Haut conseil du dialogue social, ministère des Affaires étrangères —, le collectif se tourne désormais vers le président de la République et le Premier ministre. Ils rappellent que Panapress bénéficie d’un accord de siège avec l’État sénégalais, ce qui confère à ce dernier une responsabilité particulière envers l’institution.
Le collectif dénonce également des pratiques de gestion qu’ils qualifient d’abusives : licenciements illégaux, entraves à la création d’une section syndicale et non-respect de la convention collective des entreprises de presse.
Selon eux, cette crise s’inscrit dans un contexte plus large de dysfonctionnements et d’opacité qui minent l’agence depuis plusieurs décennies.
Pour les employés, l’avenir de Panapress est à présent entre les mains des nouvelles autorités, notamment des députés fraîchement élus lors des législatives anticipées de novembre. Ils exhortent ces derniers à poser la question de Panapress lors des débats parlementaires afin d’établir la transparence et de réhabiliter cette institution continentale emblématique.
Face à l’inaction des instances de médiation — Inspection du travail, Haut conseil du dialogue social, ministère des Affaires étrangères —, le collectif se tourne désormais vers le président de la République et le Premier ministre. Ils rappellent que Panapress bénéficie d’un accord de siège avec l’État sénégalais, ce qui confère à ce dernier une responsabilité particulière envers l’institution.
Le collectif dénonce également des pratiques de gestion qu’ils qualifient d’abusives : licenciements illégaux, entraves à la création d’une section syndicale et non-respect de la convention collective des entreprises de presse.
Selon eux, cette crise s’inscrit dans un contexte plus large de dysfonctionnements et d’opacité qui minent l’agence depuis plusieurs décennies.
Pour les employés, l’avenir de Panapress est à présent entre les mains des nouvelles autorités, notamment des députés fraîchement élus lors des législatives anticipées de novembre. Ils exhortent ces derniers à poser la question de Panapress lors des débats parlementaires afin d’établir la transparence et de réhabiliter cette institution continentale emblématique.