Réprouvant cette option de l’Etat, Ousmane Ndiaye estime que l’Etat par mesure de prudence et de sécurisation de son stock devrait penser à ouvrir le marché pour mieux garantir l’approvisionnement correct du marché. Pis, prévient-t-il :
«Si jamais l’usine venait à tomber en panne ou au pire des cas celle-ci venait à connaitre un accident industriel comment l’Etat ferait face à cette situation ?». D’où, l’aberration d’entretenir « la dépendance de tout un pays sur la seule production d’une industrie».
Ce qui l’amène à dire que « l’Etat doit impérativement casser le monopole du marché du sucre, laissé entre les mains de la Ccs». Pour lui : « Si le monopole continue, c’est parce que l’Etat a les mains liées à la CCS. Voila pourquoi, rien n’est fait depuis toujours pour réguler le marché du sucre ».
Pour ce qui est de la consommation de sucre pour le mois de Ramadan, le directeur exécutif de l’Unacois/Jappo estime entre 23 000 et 25 000 tonnes. S’agissant de l’approvisionnement correct des 20 mille tonnes de sucre importées, il soutient que le marché sera bien approvisionné.
Il précise que les importateurs sénégalais sont en train de s’approvisionner pour le mettre à la disposition des grossistes qui à leur tour vont organiser l’approvisionnement correct du marché. Quid des 3000 emplois de la CSS qui pourraient se retrouver dans la rue en cas de fermeture de cette usine ?
Sud quotidien
«Si jamais l’usine venait à tomber en panne ou au pire des cas celle-ci venait à connaitre un accident industriel comment l’Etat ferait face à cette situation ?». D’où, l’aberration d’entretenir « la dépendance de tout un pays sur la seule production d’une industrie».
Ce qui l’amène à dire que « l’Etat doit impérativement casser le monopole du marché du sucre, laissé entre les mains de la Ccs». Pour lui : « Si le monopole continue, c’est parce que l’Etat a les mains liées à la CCS. Voila pourquoi, rien n’est fait depuis toujours pour réguler le marché du sucre ».
Pour ce qui est de la consommation de sucre pour le mois de Ramadan, le directeur exécutif de l’Unacois/Jappo estime entre 23 000 et 25 000 tonnes. S’agissant de l’approvisionnement correct des 20 mille tonnes de sucre importées, il soutient que le marché sera bien approvisionné.
Il précise que les importateurs sénégalais sont en train de s’approvisionner pour le mettre à la disposition des grossistes qui à leur tour vont organiser l’approvisionnement correct du marché. Quid des 3000 emplois de la CSS qui pourraient se retrouver dans la rue en cas de fermeture de cette usine ?
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