Après avoir ressuscité une Cour d’exception moribonde et condamné injustement le candidat du Pds à la prochaine présidentielle, voilà que le régime marron-beige se signale encore à l’opinion internationale par son mépris éhonté des lois qui régissent la République. Des marches pacifiques ont été interdites, des meetings politiques dispersés et récemment un député en pleine session parlementaire arrêté et envoyé en prison sous le prétexte qu’il aurait commis un flagrant délit !
A la prison de Rebeuss, Oumar Sarr Coordonnateur du Parti démocratique Sénégalais, n’était ni dépaysé, ni en terrain inconnu. La preuve, le régime de Macky Sall l’a déjà envoyé plusieurs fois en prison, en trois années de règne…Il n’était pas dépaysé non plus, parce que le lieu carcéral regorge de prisonniers libéraux à la tête desquels se trouve, le frère Karim Wade. Leur seule faute aura été d’avoir appartenu au PDS que le régime cherche à réduire en silence.
Hier, une démocratie modèle et respectée, le Sénégal va aujourd’hui à la dérive dictatoriale, du fait d’un régime qui ne souffre pas d’adversité. On le sait, Karim Wade était une cible désignée pour cette cabale internationale qui a tout fait pour l’empêcher d’avoir la mairie de Dakar en 2009, comme l’a si bien dit M. Lamine Diack, devant le juge Renaud van Ruymbeke sur l’affaire du dopage et du blanchiment aggravé !
Aujourd’hui, le même combat continue contre Me Abdoulaye Wade et tous ceux qui épousent son idéal pour une Afrique unie, indépendante et prospère. L’emprisonnement pour ne pas dire la prise en otage de Karim Meïssa Wade et ses co-détenus libéraux s’inscrit dans la même logique de décapiter le Wadisme. Cette furie presqu’internationale contre le dernier des mohicans, ne fera qu’augmenter notre ardeur et notre engagement pour continuer l’œuvre gigantesque que le timonier Me Abdoulaye Wade a déjà accomplie au Sénégal et en Afrique, plus particulièrement.
Chaque jour qui passe, nous rapproche de la fin d’un règne dictatorial où la majorité qui gouverne, n’a jamais initié le moindre dialogue avec l’opposition…Ce qui indique de la nature de ce régime de transition qui aura réussi la performance d’inscrire le Sénégal dans le peloton des 25 pays les plus pauvres du monde et de le ramener à la queue des Etats d’Afrique qui ont opté pour une démocratie irréversible. Le tout dernier rapport du PNUD portant classement 2015 des pays en fonction de l'IDH (Indice du Développement humain) qui tient compte du PIB, de l’espérance de vie à la naissance, du niveau d’études dans chaque pays, indique que le Sénégal s’est encore dégringolé du 163 ème rang qu’il occupait l’année d’avant, derrière le Lesotho, la Mauritanie et la Tanzanie pour occuper le 170 ème rang mondial !
Une telle situation est révélatrice de la mauvaise politique, suivie depuis mars 2012 par les tenants du pouvoir. Au lieu de se consacrer à la construction du pays, ils ont instauré une gouvernance revancharde qui remplit plus de prisons que d’établissements d’enseignement et de formation.
A ce rythme, l’on peut bien se demander, comme l’autre : où va la République ?
AMINATA SAKHO
Présidente du Mouvement Karim Président
A la prison de Rebeuss, Oumar Sarr Coordonnateur du Parti démocratique Sénégalais, n’était ni dépaysé, ni en terrain inconnu. La preuve, le régime de Macky Sall l’a déjà envoyé plusieurs fois en prison, en trois années de règne…Il n’était pas dépaysé non plus, parce que le lieu carcéral regorge de prisonniers libéraux à la tête desquels se trouve, le frère Karim Wade. Leur seule faute aura été d’avoir appartenu au PDS que le régime cherche à réduire en silence.
Hier, une démocratie modèle et respectée, le Sénégal va aujourd’hui à la dérive dictatoriale, du fait d’un régime qui ne souffre pas d’adversité. On le sait, Karim Wade était une cible désignée pour cette cabale internationale qui a tout fait pour l’empêcher d’avoir la mairie de Dakar en 2009, comme l’a si bien dit M. Lamine Diack, devant le juge Renaud van Ruymbeke sur l’affaire du dopage et du blanchiment aggravé !
Aujourd’hui, le même combat continue contre Me Abdoulaye Wade et tous ceux qui épousent son idéal pour une Afrique unie, indépendante et prospère. L’emprisonnement pour ne pas dire la prise en otage de Karim Meïssa Wade et ses co-détenus libéraux s’inscrit dans la même logique de décapiter le Wadisme. Cette furie presqu’internationale contre le dernier des mohicans, ne fera qu’augmenter notre ardeur et notre engagement pour continuer l’œuvre gigantesque que le timonier Me Abdoulaye Wade a déjà accomplie au Sénégal et en Afrique, plus particulièrement.
Chaque jour qui passe, nous rapproche de la fin d’un règne dictatorial où la majorité qui gouverne, n’a jamais initié le moindre dialogue avec l’opposition…Ce qui indique de la nature de ce régime de transition qui aura réussi la performance d’inscrire le Sénégal dans le peloton des 25 pays les plus pauvres du monde et de le ramener à la queue des Etats d’Afrique qui ont opté pour une démocratie irréversible. Le tout dernier rapport du PNUD portant classement 2015 des pays en fonction de l'IDH (Indice du Développement humain) qui tient compte du PIB, de l’espérance de vie à la naissance, du niveau d’études dans chaque pays, indique que le Sénégal s’est encore dégringolé du 163 ème rang qu’il occupait l’année d’avant, derrière le Lesotho, la Mauritanie et la Tanzanie pour occuper le 170 ème rang mondial !
Une telle situation est révélatrice de la mauvaise politique, suivie depuis mars 2012 par les tenants du pouvoir. Au lieu de se consacrer à la construction du pays, ils ont instauré une gouvernance revancharde qui remplit plus de prisons que d’établissements d’enseignement et de formation.
A ce rythme, l’on peut bien se demander, comme l’autre : où va la République ?
AMINATA SAKHO
Présidente du Mouvement Karim Président