Le plaignant accuse Ousmane Sonko de « mise en danger de la vie d’autrui, atteinte à son intégrité, appel au meurtre, fausses accusations et diffamation ».
M. Napel estime que, lors de sa déclaration de presse, le jeudi 19 janvier 2023, M. Sonko l’avait qualifié de « comploteur contre sa personne, de criminel au service de l’Etat, de traître, de taupe de la nation, pour avoir transmis des informations classées confidentielles et hautement sensibles à certains militants de Pastef ».
Par ailleurs, il a soutenu qu’après ces propos « injurieux », il a commencé à recevoir des injures et des menaces de mort, de même que les membres de sa famille, provenant des inconditionnels du leader de Pastef. Il promet d’aller jusqu’au bout de cette affaire en se constituant partie civile.
D’ailleurs, M. Napel rappelle avoir déposé une première plainte à la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc), afin que les utilisateurs des numéros de téléphone qui l’ont appelé et qui ont menacé de mettre fin à ses jours, puissent être identifiés
M. Napel estime que, lors de sa déclaration de presse, le jeudi 19 janvier 2023, M. Sonko l’avait qualifié de « comploteur contre sa personne, de criminel au service de l’Etat, de traître, de taupe de la nation, pour avoir transmis des informations classées confidentielles et hautement sensibles à certains militants de Pastef ».
Par ailleurs, il a soutenu qu’après ces propos « injurieux », il a commencé à recevoir des injures et des menaces de mort, de même que les membres de sa famille, provenant des inconditionnels du leader de Pastef. Il promet d’aller jusqu’au bout de cette affaire en se constituant partie civile.
D’ailleurs, M. Napel rappelle avoir déposé une première plainte à la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc), afin que les utilisateurs des numéros de téléphone qui l’ont appelé et qui ont menacé de mettre fin à ses jours, puissent être identifiés