Depuis plusieurs mois, la population de Gaya est confrontée à un manque d’eau. Une situation alarmante selon le président de l’Union nationale des usagers des forages ruraux (UNAFOR). « La situation hydraulique à Gaya est extrêmement alarmante. Les populations peinent toujours à accéder à l’eau potable. Elles nous ont confirmé qu’elles consomment une eau impropre, source de maladies. C’est une situation que nous déplorons », a-t-il dit lors d’une rencontre avec des membres de l’UNAFOR de Gaya.
Par ailleurs, il a profité de l’occasion pour décrier la hausse constatée des factures d’eau et la « mauvaise gestion » des sociétés chargées de l’exploitation hydraulique dans cette commune. Ainsi, selon lui, il est « paradoxal que les factures d’eau sont plus chères ici qu’à Dakar et dans les autres grandes villes du pays, alors que les populations de Gaya vivent à quelques mètres du fleuve Sénégal ».
Modou Diouf a également profité de cette rencontre, pour alerter les nouvelles autorités étatiques de cette situation, ainsi que les sociétés chargées de l’exploitation de l’eau et les responsables de gestion des forages ruraux à trouver rapidement des solutions définitives pour résoudre ce problème.
Cheikh Tidiane Fall, porte-parole des consuméristes de Gaya, a déclaré pour sa part, que le manque d’eau potable dans cette commune, est à l’origine de plusieurs maladies, comme la diarrhée. « Le non accès à l’eau potable est une réalité », certifiée, selon lui, par l’Infirmier chef de poste.
« De nombreux rassemblements ont été organisés pour alerter les autorités sur le problème d’accès à l’eau potable dans notre localité, mais, jusque-là , aucune solution n’a été trouvée », a fait savoir Cheikh Tidiane Fall.
Cette situation à laquelle les populations de Gaya sont confrontées depuis des années, est une des urgences des nouvelles autorités, car le problème de l’accès à l’eau potable touche plus de 30% de la population rurale.
Ce lundi, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a lancé, à Fass Touré, la phase 2 du Projet d’approvisionnement en eau potable, dans le but d’offrir à deux millions de Sénégalais, un meilleur accès à ce liquide précieux.
Par ailleurs, il a profité de l’occasion pour décrier la hausse constatée des factures d’eau et la « mauvaise gestion » des sociétés chargées de l’exploitation hydraulique dans cette commune. Ainsi, selon lui, il est « paradoxal que les factures d’eau sont plus chères ici qu’à Dakar et dans les autres grandes villes du pays, alors que les populations de Gaya vivent à quelques mètres du fleuve Sénégal ».
Modou Diouf a également profité de cette rencontre, pour alerter les nouvelles autorités étatiques de cette situation, ainsi que les sociétés chargées de l’exploitation de l’eau et les responsables de gestion des forages ruraux à trouver rapidement des solutions définitives pour résoudre ce problème.
Cheikh Tidiane Fall, porte-parole des consuméristes de Gaya, a déclaré pour sa part, que le manque d’eau potable dans cette commune, est à l’origine de plusieurs maladies, comme la diarrhée. « Le non accès à l’eau potable est une réalité », certifiée, selon lui, par l’Infirmier chef de poste.
« De nombreux rassemblements ont été organisés pour alerter les autorités sur le problème d’accès à l’eau potable dans notre localité, mais, jusque-là , aucune solution n’a été trouvée », a fait savoir Cheikh Tidiane Fall.
Cette situation à laquelle les populations de Gaya sont confrontées depuis des années, est une des urgences des nouvelles autorités, car le problème de l’accès à l’eau potable touche plus de 30% de la population rurale.
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