L’arrestation, puis la libération du Directeur de publication du quotidien « La Tribune », Pape Moussa Traoré et la convocation, ce vendredi, du Directeur de publication du « Quotidien », Mohamed Guèye, ont été vivement dénoncées par la Coordination des Associations de Presse (CAP). Ces deux journalistes ont été convoquées par la DIC dans l’affaire du général Souleymane Kandé. La CAP dans une déclaration, exprime « son profond regret » face à la reprise des convocations de journalistes, à peine deux mois après l’installation des nouveaux dirigeants.
Selon la CAP, les dirigeants actuels qui sont devenus des « symboles vivants de ces lois liberticides et rétrogrades contre la liberté d’expression », sont à l’origine de cette situation préoccupante.
D'aprés "Le Témoin", la CAP renseigne les autorités sur l’existence du CORED, instauré avec le soutien des pouvoirs publics, pour traiter les plaintes contre les professionnels de l’information.
Selon la CAP, les dirigeants actuels qui sont devenus des « symboles vivants de ces lois liberticides et rétrogrades contre la liberté d’expression », sont à l’origine de cette situation préoccupante.
D'aprés "Le Témoin", la CAP renseigne les autorités sur l’existence du CORED, instauré avec le soutien des pouvoirs publics, pour traiter les plaintes contre les professionnels de l’information.