Le prévenu qui était dans tous ses états. Il est allé prendre la machette qui a servi à dépecer le mouton de la Tabaski et de l’arme blanche, pour menacer de tuer sa femme qu’elle accuse d’«infidélité».
«Il m’a accusée d’avoir un amant. Je lui ai répondu que s’il n’a pas confiance en moi, il n’a qu’à divorcer. Il s’est fâché et m’a menacée de mort. Puis il a tout cassé : mon téléviseur, mon frigo, ma coiffeuse…», a déclaré la partie civile au tribunal.
Le prévenu, un sexagénaire, chapelet au poignet, a reconnu avoir agi sous l’emprise de la colère tout en soulignant avoir lui-même acheté les biens qu’il a détruits.
«Je ne l’ai jamais menacée de mort. Je suis un musulman, un des responsables de la grande mosquée, un notable. Je me suis juste emporté», a-t-il insisté.
Le tribunal a condamné le prévenu à un an avec sursis et à une amende de 20 000 francs.
«Il m’a accusée d’avoir un amant. Je lui ai répondu que s’il n’a pas confiance en moi, il n’a qu’à divorcer. Il s’est fâché et m’a menacée de mort. Puis il a tout cassé : mon téléviseur, mon frigo, ma coiffeuse…», a déclaré la partie civile au tribunal.
Le prévenu, un sexagénaire, chapelet au poignet, a reconnu avoir agi sous l’emprise de la colère tout en soulignant avoir lui-même acheté les biens qu’il a détruits.
«Je ne l’ai jamais menacée de mort. Je suis un musulman, un des responsables de la grande mosquée, un notable. Je me suis juste emporté», a-t-il insisté.
Le tribunal a condamné le prévenu à un an avec sursis et à une amende de 20 000 francs.