En assemblée générale d'information tenue, ce jeudi 13 avril 2023, à la Maison de la Presse Babacar Touré, les membres de la Cap ont annoncé la relance des assises nationales des médias, lancées depuis janvier 2021. "Depuis janvier 2021, le Synpics avait lancé ces assises mais il y avait quelques organisations qui n'avaient pas pris part à ce lancement. Nous avons réussi à faire de telle sorte que toutes les organisations viennent participer. C'est pourquoi nous avons relancé ces assises-là, sous la supervision de la Coordination des Associations de la Presse (CAP), composée de huit grandes organisations des médias. Depuis cinq mois, nous sommes à pieds d'œuvre pour faire en sorte que ces assises soient les plus inclusives possible", a déclaré Mamadou Thior, président du CORED, membre de la CAP.
M. Thior de poursuivre : "Nous allons faire en sorte qu'au bout de trois mois du processus d'organisation, nous puissions sortir des conclusions qui vont nous permettre d'avoir une presse plus professionnelle, plus respectée et qui va dans le sens d'une cohésion nationale. C'est important que nous puissions garder à l'esprit que ce métier est noble et que ce n'est pas un jouet à la merci de tout un chacun".
Les contraintes et menaces contre les acteurs de la presse, sont variées. Entre autres, la situation précaire des entreprises de presse, les difficiles conditions de travail et de vie des acteurs des médias, la problématique de la gouvernance des médias publics. D'où l'importance de ces assises nationales pour discuter des problèmes qui assaillent le secteur.
"D'ailleurs, nous avons listé six grandes commissions pour parler de la situation des professionnels des médias, parce que nous devons faire en sorte que ces derniers trouvent leurs comptes dans le cadre de leurs travaux. Il y aura une commission qui doit parler des sécurités et de la formation des journalistes. Parce que nous nous rendons compte que le niveau baisse de plus en plus", a dénoncé Mamadou Thior, président du CORED, avant de promouvoir la noblesse du métier, prônant la formation continue des journalistes dans les rédactions.
"Le journalisme, d'une manière générale, est un métier où il faut avoir du talent et ce n'est pas seulement à travers une formation dans une école, même si nous l'encourageons. Mais la formation au niveau des rédactions doit continuer, car c'est irremplaçable, vu que nous faisons un métier où on ne nous pardonne absolument rien, il faut être excellent tous les jours pour informer.
L'information c'est un sacerdoce et il faut être bien informé. Mais malheureusement, de nos jours, le niveau est très faible et nous devons prendre en compte ces aspects-là. Et il y aura une commission qui va prendre en charge ces questions de formation au niveau des écoles mais aussi, dans les rédactions", a rassuré M. Thior.
Concernant la sécurité des journalistes, la Coordination des Associations de la Presse compte utiliser tous les moyens possibles afin de garantir aux professionnels des médias, un avenir meilleur, pour qu'au terme de ces assises nationales des médias, le Sénégal connaisse un nouvel élan de la presse.
M. Thior de poursuivre : "Nous allons faire en sorte qu'au bout de trois mois du processus d'organisation, nous puissions sortir des conclusions qui vont nous permettre d'avoir une presse plus professionnelle, plus respectée et qui va dans le sens d'une cohésion nationale. C'est important que nous puissions garder à l'esprit que ce métier est noble et que ce n'est pas un jouet à la merci de tout un chacun".
Les contraintes et menaces contre les acteurs de la presse, sont variées. Entre autres, la situation précaire des entreprises de presse, les difficiles conditions de travail et de vie des acteurs des médias, la problématique de la gouvernance des médias publics. D'où l'importance de ces assises nationales pour discuter des problèmes qui assaillent le secteur.
"D'ailleurs, nous avons listé six grandes commissions pour parler de la situation des professionnels des médias, parce que nous devons faire en sorte que ces derniers trouvent leurs comptes dans le cadre de leurs travaux. Il y aura une commission qui doit parler des sécurités et de la formation des journalistes. Parce que nous nous rendons compte que le niveau baisse de plus en plus", a dénoncé Mamadou Thior, président du CORED, avant de promouvoir la noblesse du métier, prônant la formation continue des journalistes dans les rédactions.
"Le journalisme, d'une manière générale, est un métier où il faut avoir du talent et ce n'est pas seulement à travers une formation dans une école, même si nous l'encourageons. Mais la formation au niveau des rédactions doit continuer, car c'est irremplaçable, vu que nous faisons un métier où on ne nous pardonne absolument rien, il faut être excellent tous les jours pour informer.
L'information c'est un sacerdoce et il faut être bien informé. Mais malheureusement, de nos jours, le niveau est très faible et nous devons prendre en compte ces aspects-là. Et il y aura une commission qui va prendre en charge ces questions de formation au niveau des écoles mais aussi, dans les rédactions", a rassuré M. Thior.
Concernant la sécurité des journalistes, la Coordination des Associations de la Presse compte utiliser tous les moyens possibles afin de garantir aux professionnels des médias, un avenir meilleur, pour qu'au terme de ces assises nationales des médias, le Sénégal connaisse un nouvel élan de la presse.