Pour ce qui d’abord la voirie, les conférenciers estiment que « le régime du président Macky Sall n’a réalisé aucun mètre de route goudronnée depuis qu’il est au pouvoir ». Selon Dame Seck, porte-parole du collectif pour la défense des intérêts de Malem Hodar, toutes les voies de cette cité datent de l’époque libérale.
D’ailleurs, ces routes sont quasi inexistantes même s’il admet que l’ancien régime a eu le mérite d’essayer. Ce qu’il déplore le plus, c’est que, d’après lui, depuis l’avènement de l’actuel régime, rien n’a été fait dans ce volet. Conséquences, cette contrée se situe dans une situation d’arriération économique sans précédent occasionnée par l’absence de routes et de pistes de productions devant relier Malem Hodar au monde extérieur et pour booster le développement du département et de son chef-lieu.
A ce propos, d’ailleurs, les populations de Malem se disent outrées d’entendre le ministre Mansour Faye citer presque toutes les localités environnantes dans l’agenda de réalisation d’infrastructures routières sans inclure Malem Hodar « même le département de Koungheul a été cité ».
Même désolation notée, selon Dame Seck, quand « le ministre Abdoulaye Seydou Sow ministre de l’Urbanisme, ayant entendu nos revendications par rapport aux routes, n’a trouvé autre réponse que d’incompris alors que c’est lui-même qui porte cette casquette d’incompris car en sa qualité de ministre de la République il devrait prioriser les zones les plus défavorisées comme la notre ».
Ce n’est pas tout car, à Malem Hodar, il n’existe qu’un centre de santé pour une localité aussi vaste. Plus grave, « ce soi-disant centre de santé est logé dans un poste de santé avec lequel il partage les même locaux ».
Par ailleurs, les habitants de cette cité ne disposent que d’une seule brigade de gendarmerie. C’est pourquoi d’ailleurs ces derniers se retrouvent dans une situation d’insécurité puisque « par exemple en cas de vol de bétail, avant d’alerter les gendarmes, les malfaiteurs sont déjà loin ». L’électricité n’en parlons pas car, en dehors des communes et localités excentrées, même certains quartiers du centre-ville sont dans le noir.
L’éducation, n’en parlons pas, puisque, parmi les deux seuls lycées que compte Malem Hodar, l’un est logé dans un collège. Pour dire que l’émergence est un mot inconnu des habitants de ce vaste département de la région de Kaffrine
D’ailleurs, ces routes sont quasi inexistantes même s’il admet que l’ancien régime a eu le mérite d’essayer. Ce qu’il déplore le plus, c’est que, d’après lui, depuis l’avènement de l’actuel régime, rien n’a été fait dans ce volet. Conséquences, cette contrée se situe dans une situation d’arriération économique sans précédent occasionnée par l’absence de routes et de pistes de productions devant relier Malem Hodar au monde extérieur et pour booster le développement du département et de son chef-lieu.
A ce propos, d’ailleurs, les populations de Malem se disent outrées d’entendre le ministre Mansour Faye citer presque toutes les localités environnantes dans l’agenda de réalisation d’infrastructures routières sans inclure Malem Hodar « même le département de Koungheul a été cité ».
Même désolation notée, selon Dame Seck, quand « le ministre Abdoulaye Seydou Sow ministre de l’Urbanisme, ayant entendu nos revendications par rapport aux routes, n’a trouvé autre réponse que d’incompris alors que c’est lui-même qui porte cette casquette d’incompris car en sa qualité de ministre de la République il devrait prioriser les zones les plus défavorisées comme la notre ».
Ce n’est pas tout car, à Malem Hodar, il n’existe qu’un centre de santé pour une localité aussi vaste. Plus grave, « ce soi-disant centre de santé est logé dans un poste de santé avec lequel il partage les même locaux ».
Par ailleurs, les habitants de cette cité ne disposent que d’une seule brigade de gendarmerie. C’est pourquoi d’ailleurs ces derniers se retrouvent dans une situation d’insécurité puisque « par exemple en cas de vol de bétail, avant d’alerter les gendarmes, les malfaiteurs sont déjà loin ». L’électricité n’en parlons pas car, en dehors des communes et localités excentrées, même certains quartiers du centre-ville sont dans le noir.
L’éducation, n’en parlons pas, puisque, parmi les deux seuls lycées que compte Malem Hodar, l’un est logé dans un collège. Pour dire que l’émergence est un mot inconnu des habitants de ce vaste département de la région de Kaffrine