«Ce n’est pas au ministre de décider de la légalité ou non d’un média», a-telle martelé dans sa déclaration simultanément en wolof et en français. La journaliste a dénoncé une «tentative de liquidation de la presse privée par le nouveau régime»
Dans sa charge, elle n’a pas épargné le Conseil pour l’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie dans les Médias (CORED) et son président, Mamadou Thior, qu’elle met en garde contre toute complicité de «meurtre» de médias.
«Ce ministre-là , depuis qu’il est là , tous les actes qu’il a posés, il est dans la division». A l’en croire, le ministre dit qu’il a fait ce travail en parfaite «entente avec le CORED. Alors, que le CORED prenne ses responsabilités…
Et je prie Mamadou Thior de ne pas être complice du meurtre qu’on est en train de commettre parce sa position, parfois, moi, ça ne me rassure pas. Comment peut-on être dans une commission et le ministre pend une décision in éclat, tu l’acceptes. Le ministre les a engagés, qu’ils prennent leur responsabilité…
Le CORED, c’est un Tribunal des pairs, il ne peut remplacer le patronat (de presse), il ne peut remplacer le SYNPICS. Le ministre les associe à ce qu’il fait. Peutêtre que le ministre pense qu’ils sont ensemble, ils ont la même vision. Des non-pratiquants ne peuvent pas décider à la place de ceux qui pratiquent et connaissent leur métier».
Avec Sud Quotidien
Dans sa charge, elle n’a pas épargné le Conseil pour l’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie dans les Médias (CORED) et son président, Mamadou Thior, qu’elle met en garde contre toute complicité de «meurtre» de médias.
«Ce ministre-là , depuis qu’il est là , tous les actes qu’il a posés, il est dans la division». A l’en croire, le ministre dit qu’il a fait ce travail en parfaite «entente avec le CORED. Alors, que le CORED prenne ses responsabilités…
Et je prie Mamadou Thior de ne pas être complice du meurtre qu’on est en train de commettre parce sa position, parfois, moi, ça ne me rassure pas. Comment peut-on être dans une commission et le ministre pend une décision in éclat, tu l’acceptes. Le ministre les a engagés, qu’ils prennent leur responsabilité…
Le CORED, c’est un Tribunal des pairs, il ne peut remplacer le patronat (de presse), il ne peut remplacer le SYNPICS. Le ministre les associe à ce qu’il fait. Peutêtre que le ministre pense qu’ils sont ensemble, ils ont la même vision. Des non-pratiquants ne peuvent pas décider à la place de ceux qui pratiquent et connaissent leur métier».
Avec Sud Quotidien