Cette condamnation est une peine assimilée à une perte de son éligibilité à l’élection présidentielle de 2024. En effet, le code prévoit une radiation des listes électorales, pour une peine supérieure ou égale à six mois avec sursis. Les chances de voir Ousmane Sonko participer à l’élection présidentielle, sont donc compromises.
Pourtant, le leader de Pastef avait convoqué les conseillers municipaux en session ordinaire ce 8 mai, une date qui coïncide avec son procès en appel contre Mame Mbaye Niang. Selon les confidences d’un ancien Directeur de Cabinet à la mairie de Ziguinchor, contacté par le journal "Source A", “si Ousmane Sonko a convoqué cette réunion à la date du 8 mai, c’est juste parce que cette date coïncide avec son procès”.
Ce dilemme pose une question importante : Ousmane Sonko va-t-il faire appel à une justice qu'il a dit boycotter ? Ou bien va-t-il continuer à prôner la désobéissance civique ? Cette situation délicate met en lumière la difficulté de lutter contre un système qui semble injuste, tout en restant dans le cadre légal.
L'appel à la désobéissance civique d'Ousmane Sonko est compréhensible dans le contexte actuel, où de nombreuses personnes sont insatisfaites du système judiciaire sénégalais. Mais il est important de trouver des moyens de faire valoir ses droits et de défendre ses convictions, tout en respectant la loi.
Dans tous les cas, cette affaire met en évidence les tensions politiques et sociales qui existent actuellement au Sénégal. Il est nécessaire d'écouter toutes les parties concernées et de trouver des solutions durables pour améliorer la situation politique et sociale du pays.
Pourtant, le leader de Pastef avait convoqué les conseillers municipaux en session ordinaire ce 8 mai, une date qui coïncide avec son procès en appel contre Mame Mbaye Niang. Selon les confidences d’un ancien Directeur de Cabinet à la mairie de Ziguinchor, contacté par le journal "Source A", “si Ousmane Sonko a convoqué cette réunion à la date du 8 mai, c’est juste parce que cette date coïncide avec son procès”.
Ce dilemme pose une question importante : Ousmane Sonko va-t-il faire appel à une justice qu'il a dit boycotter ? Ou bien va-t-il continuer à prôner la désobéissance civique ? Cette situation délicate met en lumière la difficulté de lutter contre un système qui semble injuste, tout en restant dans le cadre légal.
L'appel à la désobéissance civique d'Ousmane Sonko est compréhensible dans le contexte actuel, où de nombreuses personnes sont insatisfaites du système judiciaire sénégalais. Mais il est important de trouver des moyens de faire valoir ses droits et de défendre ses convictions, tout en respectant la loi.
Dans tous les cas, cette affaire met en évidence les tensions politiques et sociales qui existent actuellement au Sénégal. Il est nécessaire d'écouter toutes les parties concernées et de trouver des solutions durables pour améliorer la situation politique et sociale du pays.