Les enjeux sont déjà énormes. Les membres du REPASEN se sont réunis au sein de l'hémicycle pour rectifier, disent-ils, "un dispositif important" à savoir le parlement qui, selon eux, doit jouer pleinement son rôle dans les politiques publiques de l'Etat. D’après ces parlementaires sénégalais, il n'y avait pas un réseau au niveau de l'Assemblée qui s'activait pour aider les champions nationaux. " C'est au secteur privé national d'occuper sa place importante pour pouvoir aider à la lutte contre la pauvreté et le chômage des jeunes", révèle la presidente du REPASEN, Dr Gnima Goudiaby.
Au terme de cette rencontre, les députés vont annoncer des plans d'actions qui leur permettront d'aller vers les institutions que ce soient les ministères, les partenaires techniques et financiers et, au-delà de l'Assemblée nationale. Vu que la première vice-présidente, Adji Mbergane Kanouté, occupe une place importante dans l'espace mondial et fait partie du parlement mondial. "On veut un maillage à partir de l'Afrique et aller plus loin. Parce qu'aujourd'hui, le monde est village planétaire et quand on veut se développer, il faut se donner la main", a exhorté, Mme Goudiaby, tout en signalant que le secteur privé ne doit pas être juste, pour des soumissions de marchés. Mais, en co-partenariat avec d'autres.
Il est également noté que presque tous les marchés de l'État sont gagnés par des partenaires étrangers. Pour rectifier la donne, ces députés de la 14e législature du REPASEN décident de mettre en place une approche participative. " Le monde est devenu un village planétaire. Et, c'est à nous d'aller vers les autres, de construire des partenariats. Même, de parlement à parlement dans l'Ouest africain voire, mondial afin de voir ce qu'on peut faire pour nos champions nationaux. On tient vraiment à avoir des champions nationaux pour servir nos futures générations. Un pays ne peut pas se développer en comptant sur des partenaires étrangers", se désole Dr Gnima Goudiaby.
Leral
Au terme de cette rencontre, les députés vont annoncer des plans d'actions qui leur permettront d'aller vers les institutions que ce soient les ministères, les partenaires techniques et financiers et, au-delà de l'Assemblée nationale. Vu que la première vice-présidente, Adji Mbergane Kanouté, occupe une place importante dans l'espace mondial et fait partie du parlement mondial. "On veut un maillage à partir de l'Afrique et aller plus loin. Parce qu'aujourd'hui, le monde est village planétaire et quand on veut se développer, il faut se donner la main", a exhorté, Mme Goudiaby, tout en signalant que le secteur privé ne doit pas être juste, pour des soumissions de marchés. Mais, en co-partenariat avec d'autres.
Il est également noté que presque tous les marchés de l'État sont gagnés par des partenaires étrangers. Pour rectifier la donne, ces députés de la 14e législature du REPASEN décident de mettre en place une approche participative. " Le monde est devenu un village planétaire. Et, c'est à nous d'aller vers les autres, de construire des partenariats. Même, de parlement à parlement dans l'Ouest africain voire, mondial afin de voir ce qu'on peut faire pour nos champions nationaux. On tient vraiment à avoir des champions nationaux pour servir nos futures générations. Un pays ne peut pas se développer en comptant sur des partenaires étrangers", se désole Dr Gnima Goudiaby.
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