L’ancien Premier ministre Idrissa Seck, a lors sa communication, invité tous ses compatriotes à « essayer d’être Conseiller municipal » dans leur localité pour commencer. Et de s’expliquer : « D’abord, ça vous donne plus de crédibilité aux yeux des gens qui vous accueillent. Et ça vous permet d’être directement informé sur ce qui se passe ». Sur sa lancée, le premier magistrat de la ville de Thiès a souligné : « Je sais bien que la plupart des cadres ne veulent pas de la politique. Ils me disent : « C’est sale ». Je leur dis : « Écoutez, si vous voulez faire de belles roses, il ne faut pas dédaigner de toucher le fumier ». Si le jardinier disait, le fumier-là je n’y touche pas… Non ! C’est avec ça qu’on fait de belles roses. C’est vrai qu’il y a des pratiques… s ».
Très en verve, Idrissa Seck de jeter un pavé dans la mare des hommes politiques : « La plupart de ceux qui s’adonnent à la politique ne sont pas très bons, ils sont médiocres. Les meilleurs s’en écartent. Donc, le climat et les règles seront, malheureusement, de mauvaise qualité ».
Mais, a-t-il affirmé dans la foulée, « si ce sont les meilleurs d’entre nous en compétence et vertu qui s’injectent dans la politique, bien évidemment, ça change les règles, les comportements, les discours et les attitudes ».
Très en verve, Idrissa Seck de jeter un pavé dans la mare des hommes politiques : « La plupart de ceux qui s’adonnent à la politique ne sont pas très bons, ils sont médiocres. Les meilleurs s’en écartent. Donc, le climat et les règles seront, malheureusement, de mauvaise qualité ».
Mais, a-t-il affirmé dans la foulée, « si ce sont les meilleurs d’entre nous en compétence et vertu qui s’injectent dans la politique, bien évidemment, ça change les règles, les comportements, les discours et les attitudes ».