« Nous avons parlé de stigmatisation, le manque d’information », déplore la directrice générale de l’action sociale et qui demande que l’information soit relayée et entendue par toute la population du Sénégal. C’est une volonté politique qui fait qu'aujourd’hui, nous sommes à ce niveau par rapport à l’avancée du programme sur le handicap. On veut l’autonomisation des personnes en situation de handicap.
Selon elle, "le Plan Sénégal Emergent est un programme qui met en avant le capital humain qui contient l’autonomisation et l’accompagnement des personnes vulnérables et des personnes indigentes".
« A partir de 2017, la production de la carte d’égalité des sens, elle-même va bénéficier d’un financement dans le cadre du BCI. Ce qui va nous donner la possibilité d’atteindre les 50 000 cartes, parce qu’on est actuellement à 17581 cartes », a dit la directrice générale qui estime que le 03 décembre sera une journée ou on pourra parler le handicap parce que nous sommes tous impliqué. On doit accompagner les personnes handicapées et les personnes en situation de vulnérabilité» a-t-elle-soutenu.
Mais, il existe des blocages au niveau de l’état civil et la mobilité des personnes handicapés. Pendant la première année, nous avons, beaucoup des points fixes autour de nos services déconcentrés", regrette Mme Alainchar.
Selon elle, "le Plan Sénégal Emergent est un programme qui met en avant le capital humain qui contient l’autonomisation et l’accompagnement des personnes vulnérables et des personnes indigentes".
« A partir de 2017, la production de la carte d’égalité des sens, elle-même va bénéficier d’un financement dans le cadre du BCI. Ce qui va nous donner la possibilité d’atteindre les 50 000 cartes, parce qu’on est actuellement à 17581 cartes », a dit la directrice générale qui estime que le 03 décembre sera une journée ou on pourra parler le handicap parce que nous sommes tous impliqué. On doit accompagner les personnes handicapées et les personnes en situation de vulnérabilité» a-t-elle-soutenu.
Mais, il existe des blocages au niveau de l’état civil et la mobilité des personnes handicapés. Pendant la première année, nous avons, beaucoup des points fixes autour de nos services déconcentrés", regrette Mme Alainchar.