Bien que le mariage soit souvent célébré dans la joie et l'allégresse, beaucoup de ces unions sont motivées par des intérêts pragmatiques, avec un accent particulier sur la situation financière de l'homme. Cette dynamique engendre un déséquilibre des pouvoirs au sein du foyer, où la femme cherche à s'approprier l'autorité traditionnellement dévolue à l'homme.
Une problématique majeure émerge également avec la montée en puissance de la violence morale exercée par certaines femmes mariées envers leurs époux. Dans un contexte où la parole masculine semble souvent muselée, les réseaux sociaux deviennent le théâtre de récits poignants qui exposent publiquement les faiblesses et les erreurs des hommes, sans leur laisser la possibilité de se défendre. Sans scrupule, de nombreuses femmes n'hésitent pas à utiliser les réseaux sociaux pour ternir l'image de leurs maris ou ex-maris, divulguant des secrets de leur vie de couple.
Cette situation est exacerbée par l'influence grandissante des industries musicales et cinématographiques, qui semblent œuvrer à désorienter les jeunes, en particulier les femmes, en leur faisant miroiter un mirage. Celles-ci véhiculent trop souvent des messages contraires aux valeurs culturelles et religieuses sénégalaises (paroles obscènes, accoutrements impudiques...), prônant le libertinage et un féminisme démesuré. On y encourage la femme mariée à ne plus respecter l'autorité de son mari et à tracer sa propre voie, au mépris des principes d'harmonie et de complémentarité qui devraient régir le couple.
Il est navrant de constater que même certains hommes se font les courroies de transmission de ces idées contraires à la dignité masculine, produisant des œuvres qui tendent à déshonorer l'homme et à promouvoir une émancipation féminine dévoyée.
Certaines femmes du show-buzz, enivrées par cette liberté mal comprise, finissent souvent par divorcer avant de se poser en victimes de violences conjugales, alors qu'elles-mêmes ont un comportement moralement contestable.
D’ailleurs, une fois libre, leur train de vie luxueux, souvent financé par des moyens malhonnêtes, ne les rend pas pour autant des exemples à suivre.
Dans ce paysage médiatique en constante évolution, certaines personnalités émergent comme des icônes controversées Mia Guisse, Mame Ndiaye Savon, Adji Sarr, Ndakhte Lo, attisant les flammes de la discorde et de la division.
Face à ce vent de remise en cause des valeurs traditionnelles, il est crucial que les femmes mariées restent vigilantes et ne se laissent pas influencer par les discours haineux et misogynes qui prospèrent sur les réseaux sociaux.
Elles doivent se méfier des voix qui, telle une certaine Firdaws Fatima se réclamant "coache" sur Tiktok, sont animées d'une misandrie exacerbée et appellent à rejeter l'autorité masculine au sein du couple. Une soi-disant voilée qui passe tout son temps sur Tiktok à « insulter » la gente masculine.
« Divorcer ce n’est pas un crime Madame, donc de grâce ne mettez pas dans le même panier pas tous les hommes. Réglez vos problèmes personnels avec votre ex et cessez d’instrumentaliser, d’influencer négativement les femmes mariées qui gagnerez à s’éloigner de votre environnement toxique pour la stabilité de leur vie de couple ».
Des discours empreint de haine et de méchanceté relatés également par des femmes aux mœurs légères ou célibataires endurcies, visant à influencer négativement les femmes mariées qui ont encore du respect et de la soumission envers leurs maris.
Pourtant, au-delà de ces influences néfastes, il est crucial de reconnaître que toutes les femmes mariées ne sont pas complices de cette dynamique toxique. Nombreuses sont celles qui, dans la discrétion et le respect mutuel, œuvrent pour préserver l'harmonie au sein de leur foyer.
Il est impératif de promouvoir un dialogue ouvert et constructif sur les défis auxquels est confrontée la société sénégalaise, en mettant en lumière les voix qui prônent la compréhension et la compassion plutôt que la division et la méfiance. Seule une approche holistique, intégrant les dimensions culturelles, religieuses et sociales, pourra permettre de restaurer l'équilibre et la confiance au sein des unions matrimoniales.
En définitive, il importe de rappeler que le respect mutuel, la complémentarité et la soumission de la femme - loin d'être une forme d'oppression - sont les gages d'une union heureuse et durable. Seule la préservation de ces principes ancestraux permettra d'assurer la pérennité de l'institution du mariage face aux assauts des forces de la décadence.
Ô Hommes responsables, mariez-vous avec des femmes qui ont la foi, qui connaissent leur religion et qui ont la crainte du Seigneur, si vous souhaitez vivre avec moins de problèmes.
Citoyen sénégalais conscient des enjeux sociétaux.
Email : mhcisse412@gmail.com
Une problématique majeure émerge également avec la montée en puissance de la violence morale exercée par certaines femmes mariées envers leurs époux. Dans un contexte où la parole masculine semble souvent muselée, les réseaux sociaux deviennent le théâtre de récits poignants qui exposent publiquement les faiblesses et les erreurs des hommes, sans leur laisser la possibilité de se défendre. Sans scrupule, de nombreuses femmes n'hésitent pas à utiliser les réseaux sociaux pour ternir l'image de leurs maris ou ex-maris, divulguant des secrets de leur vie de couple.
Cette situation est exacerbée par l'influence grandissante des industries musicales et cinématographiques, qui semblent œuvrer à désorienter les jeunes, en particulier les femmes, en leur faisant miroiter un mirage. Celles-ci véhiculent trop souvent des messages contraires aux valeurs culturelles et religieuses sénégalaises (paroles obscènes, accoutrements impudiques...), prônant le libertinage et un féminisme démesuré. On y encourage la femme mariée à ne plus respecter l'autorité de son mari et à tracer sa propre voie, au mépris des principes d'harmonie et de complémentarité qui devraient régir le couple.
Il est navrant de constater que même certains hommes se font les courroies de transmission de ces idées contraires à la dignité masculine, produisant des œuvres qui tendent à déshonorer l'homme et à promouvoir une émancipation féminine dévoyée.
Certaines femmes du show-buzz, enivrées par cette liberté mal comprise, finissent souvent par divorcer avant de se poser en victimes de violences conjugales, alors qu'elles-mêmes ont un comportement moralement contestable.
D’ailleurs, une fois libre, leur train de vie luxueux, souvent financé par des moyens malhonnêtes, ne les rend pas pour autant des exemples à suivre.
Dans ce paysage médiatique en constante évolution, certaines personnalités émergent comme des icônes controversées Mia Guisse, Mame Ndiaye Savon, Adji Sarr, Ndakhte Lo, attisant les flammes de la discorde et de la division.
Face à ce vent de remise en cause des valeurs traditionnelles, il est crucial que les femmes mariées restent vigilantes et ne se laissent pas influencer par les discours haineux et misogynes qui prospèrent sur les réseaux sociaux.
Elles doivent se méfier des voix qui, telle une certaine Firdaws Fatima se réclamant "coache" sur Tiktok, sont animées d'une misandrie exacerbée et appellent à rejeter l'autorité masculine au sein du couple. Une soi-disant voilée qui passe tout son temps sur Tiktok à « insulter » la gente masculine.
« Divorcer ce n’est pas un crime Madame, donc de grâce ne mettez pas dans le même panier pas tous les hommes. Réglez vos problèmes personnels avec votre ex et cessez d’instrumentaliser, d’influencer négativement les femmes mariées qui gagnerez à s’éloigner de votre environnement toxique pour la stabilité de leur vie de couple ».
Des discours empreint de haine et de méchanceté relatés également par des femmes aux mœurs légères ou célibataires endurcies, visant à influencer négativement les femmes mariées qui ont encore du respect et de la soumission envers leurs maris.
Pourtant, au-delà de ces influences néfastes, il est crucial de reconnaître que toutes les femmes mariées ne sont pas complices de cette dynamique toxique. Nombreuses sont celles qui, dans la discrétion et le respect mutuel, œuvrent pour préserver l'harmonie au sein de leur foyer.
Il est impératif de promouvoir un dialogue ouvert et constructif sur les défis auxquels est confrontée la société sénégalaise, en mettant en lumière les voix qui prônent la compréhension et la compassion plutôt que la division et la méfiance. Seule une approche holistique, intégrant les dimensions culturelles, religieuses et sociales, pourra permettre de restaurer l'équilibre et la confiance au sein des unions matrimoniales.
En définitive, il importe de rappeler que le respect mutuel, la complémentarité et la soumission de la femme - loin d'être une forme d'oppression - sont les gages d'une union heureuse et durable. Seule la préservation de ces principes ancestraux permettra d'assurer la pérennité de l'institution du mariage face aux assauts des forces de la décadence.
Ô Hommes responsables, mariez-vous avec des femmes qui ont la foi, qui connaissent leur religion et qui ont la crainte du Seigneur, si vous souhaitez vivre avec moins de problèmes.
Citoyen sénégalais conscient des enjeux sociétaux.
Email : mhcisse412@gmail.com