Pour Karim Wade, son futur lui échappe. Il ne peut vivre qu’en futur hypothétique et son avenir accroché à une prise de décision de son parti et de ses partisans : les karimistes; à qui je suggère de prendre une décision d’opportunité, historique et révolutionnaire, pour que l’avenir de Karim puisse encore se conjuguer à son futur; il faut soutenir et voter pour le Président Macky Sall. D’autant plus, ils ne veulent qu’une révision de son procès. Il me semble qu’il n y ait pas de difficulté à accéder à leur demande, en attendant d’acter cette décision, je suggère de faire avec le Président Sall, un accord de gouvernement, où le PDS pourrait être représente par un ou deux ministres sans Karim, dans un premier temps et créer une coalition à l’Assemblée entre les groupes BBY et Wallu.
Cette grande coalition pourrait voter la révision du procès de Khalifa si Taxawu accepte de s’associer à cet accord et avoir un représentant dans ce gouvernement, sans Khalifa, dans un premier temps. Le Sénégal en vaut la peine. A mon avis, les Sénégalais accepteront mal une amnistie suite à un détournement condamné par nos tribunaux ni même accepter de revisiter la loi électorale pour des supposés délinquants.
Pour être président de la République, il faut être nickel. En effet, avec un deuxième mandat, le Président Macky Sall ne pourra faire que cinq ans. Toute attitude des karimistes du PDS et des khalifistes, pour ne pas soutenir et voter pour le Président Macky Sall en 2024, mettra en péril leur futur.
Un aventurier au pouvoir voudra avoir un second mandat après 2024, et ce serait catastrophique pour eux. Personne ne facilite la tâche à celui qui entrevoit sa mort, par la capture de son pouvoir. L unique solution reste la solution Macky Sall pour penser revenir (Karim et Khalifa). C’est la seule voie de salut si on veut un futur qui chante pour Karim et Khalifa.
Je rappelle juste que pour les présidentielles, le vote s’analyse comme la transposition d émotions et non comme la traduction cartésienne d un raisonnement logique; c est aussi au niveau des sentiments que se jouent attraits et répulsions à l’égard d’un candidat. Le Président Macky Sall rassemble au delà de son parti, de sa coalition et de son idéologie.
Le Président est un scientifique et en tant que tel, toute situation est encore provisoire. Il est formé pour pouvoir s’adapter à toute situation. Selon les contextes, on peut revenir sur des déclarations et engagement si les rigueur de nos lois l’y obligent. D’ailleurs, par pédagogie, Dieu nous y convie n’avait il pas dans un premier temps, indiqué Jérusalem comme Qibla, pour désigner plus tard la Kaaba qui est notre Qibla actuelle ? Moi tout comme lui, croyons en Dieu. Personne d'entre nous ne porte encore ses habits de trois ans. C’est un faux débat.
Quand des gens se regroupent pour défier nos lois et institutions, qui veulent saper la sauvegarde de notre commun vouloir de vie commune, je ne les respecte pas en tant que républicain. Si j’étais à la place du préfet de Dakar, jamais je leur autoriserai une manifestation qui nie l’existence de cette institution qui s’appelle le Conseil Constitutionnel et même de l’Assemblée Nationale qui vote les lois.
On va raisonner par l’absurde si lui Sonko appelle à la résistance, quoi de plus normal, que les autres aussi, ne s organisent pas à la résistance de la résistance de Sonko ? A la résistance de la résistance, on n'attend plus un procureur ou juge pour un mandat arrêt, un mandat d'amener, ou même de se priver de cerner sa résidence; en somme, on ne peut invoquer le non respect de la loi par les forces de défense ? C’est rien d autre qu’un appel à l’anarchie et une menace inacceptable de l’ordre public, que l Etat de droit doit impérativement relever.
Vous savez la confiance que l’on peut inspirer à autrui, repose sur un équilibre entre l’audace la compétence et l’intégrité. A l’absence d’intégrité, tout leader devient un leader anthropophage qui consomme ses propres militants et sympathisants, il va les engager dans des chantiers sans issue, où ils risquent de perdre la vie.
Ousmane Sonko est insensible à toute autre priorité que sa propre pérennité, entouré de serviles conseillers qui sont autant de courtisans qui flattent son ego et pense qu’il est intouchable, inattaquable, insubmersible. Un sentiment de surpuissance lui procure l’impression factice et enivrante d’échapper aux lois de la République. Ce goût immodéré du défi au delà du raisonnable, est suicidaire et improductif.
Cette grande coalition pourrait voter la révision du procès de Khalifa si Taxawu accepte de s’associer à cet accord et avoir un représentant dans ce gouvernement, sans Khalifa, dans un premier temps. Le Sénégal en vaut la peine. A mon avis, les Sénégalais accepteront mal une amnistie suite à un détournement condamné par nos tribunaux ni même accepter de revisiter la loi électorale pour des supposés délinquants.
Pour être président de la République, il faut être nickel. En effet, avec un deuxième mandat, le Président Macky Sall ne pourra faire que cinq ans. Toute attitude des karimistes du PDS et des khalifistes, pour ne pas soutenir et voter pour le Président Macky Sall en 2024, mettra en péril leur futur.
Un aventurier au pouvoir voudra avoir un second mandat après 2024, et ce serait catastrophique pour eux. Personne ne facilite la tâche à celui qui entrevoit sa mort, par la capture de son pouvoir. L unique solution reste la solution Macky Sall pour penser revenir (Karim et Khalifa). C’est la seule voie de salut si on veut un futur qui chante pour Karim et Khalifa.
Je rappelle juste que pour les présidentielles, le vote s’analyse comme la transposition d émotions et non comme la traduction cartésienne d un raisonnement logique; c est aussi au niveau des sentiments que se jouent attraits et répulsions à l’égard d’un candidat. Le Président Macky Sall rassemble au delà de son parti, de sa coalition et de son idéologie.
Le Président est un scientifique et en tant que tel, toute situation est encore provisoire. Il est formé pour pouvoir s’adapter à toute situation. Selon les contextes, on peut revenir sur des déclarations et engagement si les rigueur de nos lois l’y obligent. D’ailleurs, par pédagogie, Dieu nous y convie n’avait il pas dans un premier temps, indiqué Jérusalem comme Qibla, pour désigner plus tard la Kaaba qui est notre Qibla actuelle ? Moi tout comme lui, croyons en Dieu. Personne d'entre nous ne porte encore ses habits de trois ans. C’est un faux débat.
Quand des gens se regroupent pour défier nos lois et institutions, qui veulent saper la sauvegarde de notre commun vouloir de vie commune, je ne les respecte pas en tant que républicain. Si j’étais à la place du préfet de Dakar, jamais je leur autoriserai une manifestation qui nie l’existence de cette institution qui s’appelle le Conseil Constitutionnel et même de l’Assemblée Nationale qui vote les lois.
On va raisonner par l’absurde si lui Sonko appelle à la résistance, quoi de plus normal, que les autres aussi, ne s organisent pas à la résistance de la résistance de Sonko ? A la résistance de la résistance, on n'attend plus un procureur ou juge pour un mandat arrêt, un mandat d'amener, ou même de se priver de cerner sa résidence; en somme, on ne peut invoquer le non respect de la loi par les forces de défense ? C’est rien d autre qu’un appel à l’anarchie et une menace inacceptable de l’ordre public, que l Etat de droit doit impérativement relever.
Vous savez la confiance que l’on peut inspirer à autrui, repose sur un équilibre entre l’audace la compétence et l’intégrité. A l’absence d’intégrité, tout leader devient un leader anthropophage qui consomme ses propres militants et sympathisants, il va les engager dans des chantiers sans issue, où ils risquent de perdre la vie.
Ousmane Sonko est insensible à toute autre priorité que sa propre pérennité, entouré de serviles conseillers qui sont autant de courtisans qui flattent son ego et pense qu’il est intouchable, inattaquable, insubmersible. Un sentiment de surpuissance lui procure l’impression factice et enivrante d’échapper aux lois de la République. Ce goût immodéré du défi au delà du raisonnable, est suicidaire et improductif.