En effet, les inondations sont toujours d’actualité dans cette localité où la plupart des voies d’eau sont obstruées ajouté à cela les réseaux d’assainissement en cette période pré –hivernale où les inondations sont réelles. Nous dit Le Grand Panel
Mamadou Diouf, membre du collectif cité Emergente de Kounoune a déclaré ainsi que « le projet connait un énième arrêt depuis près d’un mois, et l’on va dire plus d’un mois et n’est pas prête à répondre aux attentes si l’on tient compte du début prochain de l’hivernage qui va s’avérer être précoce selon les prévisions météorologiques cette année.
« La collectivité locale de Sangalkam , malgré nos compétences dans ce domaine a tenté d’atténuer les dégâts , en initiant des bassins de rétention artificiels qui peinent à contenir ce volume important d’eau enregistré chaque année alors de que l’Etat était interpellé en ce sens pour avoir effectué de nombreuses descentes à travers les services déconcentrés et s’était investi sur le terrain pour sans doute s’enquérir de la situation et éventuellement prévoir un dispositif d’assainissement pour la maitrise de l’eau d’après l’opinion. » Explique Mamadou Diouf
« Les populations demandent l’intégration du volet assainissement qui n’est pas prise en compte dans les réalisations de la route. La surprise générale fut grande lorsque nous avons appris que le projet de la route bien étant salvateur n’est pas accompagné d’un système d’assainissement dans les domaines de compétences Le collectif qui dénonce l’indifférence des autorités s’est tout de suite attelé à mener des actions, trouver des voies et moyens afin que le volet d’assainissaient soit intégré »
Le journal rappelle que la localité de Kounoune, est une zone d’accueil des eaux pluviales, près des milliers de mètres cubes d’eau y sont reversés émanant du département de Rufisque et environ, qui par des mécanismes de pompage sont drainés vers le lac rose sont menacées de disparition si aucune mesure n’est prise à cet effet
Mamadou Diouf, membre du collectif cité Emergente de Kounoune a déclaré ainsi que « le projet connait un énième arrêt depuis près d’un mois, et l’on va dire plus d’un mois et n’est pas prête à répondre aux attentes si l’on tient compte du début prochain de l’hivernage qui va s’avérer être précoce selon les prévisions météorologiques cette année.
« La collectivité locale de Sangalkam , malgré nos compétences dans ce domaine a tenté d’atténuer les dégâts , en initiant des bassins de rétention artificiels qui peinent à contenir ce volume important d’eau enregistré chaque année alors de que l’Etat était interpellé en ce sens pour avoir effectué de nombreuses descentes à travers les services déconcentrés et s’était investi sur le terrain pour sans doute s’enquérir de la situation et éventuellement prévoir un dispositif d’assainissement pour la maitrise de l’eau d’après l’opinion. » Explique Mamadou Diouf
« Les populations demandent l’intégration du volet assainissement qui n’est pas prise en compte dans les réalisations de la route. La surprise générale fut grande lorsque nous avons appris que le projet de la route bien étant salvateur n’est pas accompagné d’un système d’assainissement dans les domaines de compétences Le collectif qui dénonce l’indifférence des autorités s’est tout de suite attelé à mener des actions, trouver des voies et moyens afin que le volet d’assainissaient soit intégré »
Le journal rappelle que la localité de Kounoune, est une zone d’accueil des eaux pluviales, près des milliers de mètres cubes d’eau y sont reversés émanant du département de Rufisque et environ, qui par des mécanismes de pompage sont drainés vers le lac rose sont menacées de disparition si aucune mesure n’est prise à cet effet