Selon le quotidien Tribune qui relaie l’info, le porte-parole de ces enseignants, Yoba Baldé, n’a pas caché sa colère, soulignant que le baccalauréat, avant d’être corrigé, doit d’abord être surveillé.
Pour lui, il est inacceptable que les correcteurs aient déjà été payés intégralement, alors que les surveillants et secrétaires, qui ont également contribué à la bonne organisation de l'examen, attendent toujours leurs indemnités.
« C’est inadmissible », a martelé Yoba Baldé. Il a rappelé que la date butoir de paiement des indemnités était fixée au 30 novembre dernier, mais que, jusqu’à ce jour, aucun versement n’a été effectué pour les surveillants et secrétaires. »
Les enseignants ont insisté sur le fait qu'ils n'ont aucune intention de perturber les enseignements-apprentissages à cause de ce retard, mais ont averti que si la situation perdure, ils n’hésiteront pas à revendiquer leurs droits de manière plus ferme.
« Les autorités doivent tout faire pour que nos collègues puissent entrer dans leurs fonds, sans quoi il serait difficile de rester indifférents », a ajouté Yoba Baldé.
Cette alerte lancée par ces enseignants, selon le journal, fait écho à une revendication plus large pour le respect des engagements financiers envers les personnels éducatifs, afin de garantir le bon déroulement des examens et de préserver la sérénité dans le milieu scolaire.
Le G7 Kolda attend une réponse rapide des autorités compétentes pour résoudre cette situation et éviter toute forme de conflit.
Pour lui, il est inacceptable que les correcteurs aient déjà été payés intégralement, alors que les surveillants et secrétaires, qui ont également contribué à la bonne organisation de l'examen, attendent toujours leurs indemnités.
« C’est inadmissible », a martelé Yoba Baldé. Il a rappelé que la date butoir de paiement des indemnités était fixée au 30 novembre dernier, mais que, jusqu’à ce jour, aucun versement n’a été effectué pour les surveillants et secrétaires. »
Les enseignants ont insisté sur le fait qu'ils n'ont aucune intention de perturber les enseignements-apprentissages à cause de ce retard, mais ont averti que si la situation perdure, ils n’hésiteront pas à revendiquer leurs droits de manière plus ferme.
« Les autorités doivent tout faire pour que nos collègues puissent entrer dans leurs fonds, sans quoi il serait difficile de rester indifférents », a ajouté Yoba Baldé.
Cette alerte lancée par ces enseignants, selon le journal, fait écho à une revendication plus large pour le respect des engagements financiers envers les personnels éducatifs, afin de garantir le bon déroulement des examens et de préserver la sérénité dans le milieu scolaire.
Le G7 Kolda attend une réponse rapide des autorités compétentes pour résoudre cette situation et éviter toute forme de conflit.