Depuis un certain temps, le calendrier républicain subit de graves perturbations. Une fois de plus, l’Etat va certainement convoquer les acteurs à un nouveau dialogue politique, ficelé avec un non-dit, pour donner l’impression de trouver un consensus.
Ceci, avant la tenue des échéances électorales par rapport au nouveau projet de Département de Keur Massar, sur le nombre de Communes à créer, le nombre de Députés à élire, entre autres points qui seront inscrits à l’ordre du jour.
Face à une opposition capricieuse ou une opposition de « Mbourou ak Sow », il ne manquera pas de trouver une stratégie pour faire repousser les élections législatives à une date ultérieure, faute de consensus.
Ainsi, les députés verront peut-être leurs mandats prolongés jusqu’en 2024, comme c’est le cas actuel des mandats des maires de commune, qui devaient être terminés depuis 2019.
Ceci, avant la tenue des échéances électorales par rapport au nouveau projet de Département de Keur Massar, sur le nombre de Communes à créer, le nombre de Députés à élire, entre autres points qui seront inscrits à l’ordre du jour.
Face à une opposition capricieuse ou une opposition de « Mbourou ak Sow », il ne manquera pas de trouver une stratégie pour faire repousser les élections législatives à une date ultérieure, faute de consensus.
Ainsi, les députés verront peut-être leurs mandats prolongés jusqu’en 2024, comme c’est le cas actuel des mandats des maires de commune, qui devaient être terminés depuis 2019.