Les femmes éleveuses ou productrices d’huitres des villages situés dans les enivrons de la réserve spéciale des oiseaux de Kalissaye, ont été outillées à une nouvelle technique simple d’élevage des huitres. Une méthode plus pratique selon le conservateur de la réserve de Kalissaye, plus rentable pour leurs activités et qui vise la protection et la préservation de la mangrove. Une quarantaine de femmes éleveuses ou productrices d’huitres ont bénéficié de cette formation dans la préservation de la mangrove.
Elles sont quarante femmes des villages de Ilolle, Kouba,Coumbaloulou et Mantati a subir cette capacitation et durant trois jours. Hortense Diémé, porte-parole de ces éleveurs et productrices d’huitres de Kalissaye dans la commune de Kafountine revient sur les difficultés qu’elles rencontrent dans le cadre de ce travail. " Nous avons de la peine à transporter nos produits, surtout après la récolte. La cause, nous n’avons pas de pirogue. Si nous en avions, cela allait être trop bénéfique pour nous".
Elle ajoute: « Le travail n’est pas si pénible, nous l’exécutons aisément, mais le manque de matériel d’évacuation des produits, réduit fortement nos ressources financières. Nous souhaitons plus d’appui dans ce sens ».
Elles saluent, par ailleurs, cette capacitation, qui est une démonstration pratique ou technique simple de production de ces crustacés à travers l’installation de guirlandes. Formation qui vise à mieux protéger et préserver la mangrove.
Des propos renforcés par le commandant Pathé Baldé, conservateur de la réserve de Kalissaye. « Cette technique de production et d’élevage des huitres a beaucoup d’avantages, dit-il. Elle permet aux femmes de produire des huitres de qualité. En plus, ces productrices n’auront plus besoin de couper les racines des mangroves par l’ostréiculture traditionnelle (c'est-à -dire l’élevage des huitres) ».
« Si les mangroves ne sont plus coupées, elles vont servir de lieu de reproduction des poissons et d’agrandissement des alevins, mais aussi un lieu de protection pour les crustacés. La mangrove constitue un lieu de brise lame. En plus, elle constitue un lieu de protection des villages contre l’érosion côtière », dixit le commandant Pathé Baldé.
Elles sont quarante femmes des villages de Ilolle, Kouba,Coumbaloulou et Mantati a subir cette capacitation et durant trois jours. Hortense Diémé, porte-parole de ces éleveurs et productrices d’huitres de Kalissaye dans la commune de Kafountine revient sur les difficultés qu’elles rencontrent dans le cadre de ce travail. " Nous avons de la peine à transporter nos produits, surtout après la récolte. La cause, nous n’avons pas de pirogue. Si nous en avions, cela allait être trop bénéfique pour nous".
Elle ajoute: « Le travail n’est pas si pénible, nous l’exécutons aisément, mais le manque de matériel d’évacuation des produits, réduit fortement nos ressources financières. Nous souhaitons plus d’appui dans ce sens ».
Elles saluent, par ailleurs, cette capacitation, qui est une démonstration pratique ou technique simple de production de ces crustacés à travers l’installation de guirlandes. Formation qui vise à mieux protéger et préserver la mangrove.
Des propos renforcés par le commandant Pathé Baldé, conservateur de la réserve de Kalissaye. « Cette technique de production et d’élevage des huitres a beaucoup d’avantages, dit-il. Elle permet aux femmes de produire des huitres de qualité. En plus, ces productrices n’auront plus besoin de couper les racines des mangroves par l’ostréiculture traditionnelle (c'est-à -dire l’élevage des huitres) ».
« Si les mangroves ne sont plus coupées, elles vont servir de lieu de reproduction des poissons et d’agrandissement des alevins, mais aussi un lieu de protection pour les crustacés. La mangrove constitue un lieu de brise lame. En plus, elle constitue un lieu de protection des villages contre l’érosion côtière », dixit le commandant Pathé Baldé.