«Ces vols, qui ont souvent lieu la nuit sont commis dans leur grande majorité avec effraction, les voleurs étant armés jusqu’aux dents. Ce qui est plus grave, c’est que les chefs de village qui osent dénoncer les voleurs vivant dans leurs localités sont persécutés, constamment menacés de sorte que beaucoup n’ont plus le courage de le faire. En outre, les voleurs arrêtés ne tardent pas souvent à recouvrer la liberté», a déploré Bassirou Ba, coordonnateur du mouvement Aar Sunu Moomeel.
De l’avis de Lobé Mbengue, les femmes sont les plus grandes victimes. «Ici, les femmes n’ont que l’embauche pour s’en sortir puisqu’elles ne disposent pas de terres comme les hommes pour pouvoir pratiquer l’agriculture.
Certaines femmes contractent des prêts auprès d’institutions financières de la place pour acheter du bétail qui leur est ensuite volé. Même la volaille n’est pas épargnée de sorte que beaucoup n’ont plus le courage d’élever», a-t-elle ajouté.
Le collectif des victimes de vol qui évalue le préjudice subi à 114 millions de francs CFA dit interpeller les nouvelles autorités pour que des mesures efficaces soient prises pour éradiquer le phénomène.
De l’avis de Lobé Mbengue, les femmes sont les plus grandes victimes. «Ici, les femmes n’ont que l’embauche pour s’en sortir puisqu’elles ne disposent pas de terres comme les hommes pour pouvoir pratiquer l’agriculture.
Certaines femmes contractent des prêts auprès d’institutions financières de la place pour acheter du bétail qui leur est ensuite volé. Même la volaille n’est pas épargnée de sorte que beaucoup n’ont plus le courage d’élever», a-t-elle ajouté.
Le collectif des victimes de vol qui évalue le préjudice subi à 114 millions de francs CFA dit interpeller les nouvelles autorités pour que des mesures efficaces soient prises pour éradiquer le phénomène.