En effet, la nouvelle équipe municipale de Diass dirigée par Mamadou Ndione, par ailleurs patron du Conseil sénégalais des chargeurs (COSEC), avait initié, aussitôt son installation effective, des rencontres avec toutes les entreprises exploitant des carrières dans le périmètre communal, pour leur rappeler leurs obligations de préservation de l’environnement et d’implication dans le développement local.
À cet effet, ces entreprises ont été informées sur une nouvelle délibération qui fixe les taxes à 2000 FCfa, par camion et par jour. Ce mercredi, des réticences ont été enregistrées dans la mise en œuvre de ladite délibération. Certains camions refusant de s’acquitter des droits de taxes exigés par les collecteurs recrutés par la mairie, qui a également travaillé sur cette question avec le percepteur du Trésor de Mbour, dans le cadre de l’élaboration de son ambitieux budget 2022.
Hier matin encore, les Ciments du Sahel, dont l’exonération a expiré depuis plusieurs années déjà , ont refusé de payer la taxe. Informées, les populations sont sorties spontanément pour accompagner les collecteurs de la mairie dans la collecte des nouvelles taxes. Devant la détermination des populations et le filtre mis en place par les collecteurs de la mairie sur les pistes menant vers les carrières et ne laissant passer que les camions en règle, les camions des Ciments du Sahel, qui refusaient de passer à la caisse, ont été bloqués jusqu’à midi.
Pour décanter la situation et concilier les positions, le sous-préfet de Sindia a saisi les autorités municipales, pour desserrer un peu l’étau et convoquer toutes les parties à une rencontre. Le maire est alors intervenu pour expliquer aux populations que ce problème sera résolu en relation avec l’autorité administrative.
Finalement, les camions des Ciments du Sahel ont pu reprendre leurs rotations. D’autres transporteurs, qui avaient commencé à payer les nouvelles taxes, ont bénéficié des mêmes faveurs pour cette journée pour le moins mouvementée en pays saafi.
Il faut noter que la nouvelle équipe municipale de Diass avait demandé et obtenu, selon Mamadou Ndione, l’accord des entreprises pour une implication dynamique dans la réfection des pistes et routes communales, le reboisement, la création d’emplois et le respect des obligations environnementales.
Un moindre mal pour ces entreprises qui ont considérablement balafré le relief de Diass et dégradé son environnement. Ce n’est pas trop demander à ces entreprises, de payer la modique somme de 2 000 FCfa par jour et par camion, quand on sait qu’elles ne sont pas des «saints» en matière de développement durable et de respect de l’environnement.
À cet effet, ces entreprises ont été informées sur une nouvelle délibération qui fixe les taxes à 2000 FCfa, par camion et par jour. Ce mercredi, des réticences ont été enregistrées dans la mise en œuvre de ladite délibération. Certains camions refusant de s’acquitter des droits de taxes exigés par les collecteurs recrutés par la mairie, qui a également travaillé sur cette question avec le percepteur du Trésor de Mbour, dans le cadre de l’élaboration de son ambitieux budget 2022.
Hier matin encore, les Ciments du Sahel, dont l’exonération a expiré depuis plusieurs années déjà , ont refusé de payer la taxe. Informées, les populations sont sorties spontanément pour accompagner les collecteurs de la mairie dans la collecte des nouvelles taxes. Devant la détermination des populations et le filtre mis en place par les collecteurs de la mairie sur les pistes menant vers les carrières et ne laissant passer que les camions en règle, les camions des Ciments du Sahel, qui refusaient de passer à la caisse, ont été bloqués jusqu’à midi.
Pour décanter la situation et concilier les positions, le sous-préfet de Sindia a saisi les autorités municipales, pour desserrer un peu l’étau et convoquer toutes les parties à une rencontre. Le maire est alors intervenu pour expliquer aux populations que ce problème sera résolu en relation avec l’autorité administrative.
Finalement, les camions des Ciments du Sahel ont pu reprendre leurs rotations. D’autres transporteurs, qui avaient commencé à payer les nouvelles taxes, ont bénéficié des mêmes faveurs pour cette journée pour le moins mouvementée en pays saafi.
Il faut noter que la nouvelle équipe municipale de Diass avait demandé et obtenu, selon Mamadou Ndione, l’accord des entreprises pour une implication dynamique dans la réfection des pistes et routes communales, le reboisement, la création d’emplois et le respect des obligations environnementales.
Un moindre mal pour ces entreprises qui ont considérablement balafré le relief de Diass et dégradé son environnement. Ce n’est pas trop demander à ces entreprises, de payer la modique somme de 2 000 FCfa par jour et par camion, quand on sait qu’elles ne sont pas des «saints» en matière de développement durable et de respect de l’environnement.