«L'Accord que nous paraphons, bien plus qu'un acte de la pure formalité, porte le sceau d'un partenariat stratégique inspiré du Contrat d'Hôte nous liant au Comité International Olympique, et qui met la Jeunesse au cœur du processus de préparation et d'organisation de ce premier événement olympique en terre africaine », a d’emblée rappelé Mamadou Diagna Ndiaye.
Selon le président du Comité d’organisation des JOJ, « il s'inscrit en effet, dans la suite de celui conclu en 2020 entre le Ministère de l'Education nationale et le Mouvement olympique et sportif, représenté par le CNOSS, et qui a servi de base jusqu'ici à la mise en œuvre d'importantes activités de sport au sein de l'espace scolaire ».
Toutefois, précise-t-il, «notre partenariat d'aujourd'hui va plus loin. D'abord, il matérialise une des décisions du Premier Ministre Ousmane Sonko prises à l'issue du Conseil Interministériel sur la préparation des JOJ Dakar 2026 tenu le 15 octobre 2026, qui a fortement instruit les parties prenantes pour une large implication de la communauté scolaire dans la préparation et l'organisation des jeux. Ensuite, il repose ainsi sur des valeurs partagées, des ambitions convergentes et une forte volonté d'unir nos forces pour assurer une implication adéquate de la jeunesse sénégalaise, à travers l'Ecole, dans la préparation et la livraison des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 »
Et d’ajouter : « il n'y a pas plus approprié que le cadre de l'école pour garantir l'implication du plus grand nombre de notre jeunesse dans l'organisation des JOJ 2026 et leur laisser un souvenir qui restera à jamais imprimer dans leur conscience. C'est pour cela que le COJOJ a choisi de vous avoir comme partenaire de choix dans le déroulement de trois dimensions majeures de la préparation des Jeux, à savoir : La mise en œuvre du Brevet Olympique, Civique et Sportif, une initiative innovante dont la finalité est d'imprimer partout dans le pays, à travers tous les 11 000 établissements scolaires, l'idéal olympique et les valeurs du civisme et de l'olympisme ».
Selon Diagna Ndiaye, « la tournée de la flamme olympique qui sera relayée dans toutes les académies de notre pays et permettre aux élèves, aux enseignants mais aussi aux parents de communier avec ce symbole fort des jeux. Le concours de création de la mascotte des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026, qui sera lancé officiellement dans les prochaines semaines, et qui sera un moment important d'implication de l'Ecole et de recours à l'imagination de nos jeunes talents pour faire naître un symbole qui marquera l'histoire de jeux et de notre continent ».
« Notre nation sera le miroir de la diversité et de la richesse culturelle de tout le continent africain. A travers ces Jeux, notre nation sera le miroir de la diversité et de la richesse culturelle de tout le continent africain. Pour incarner cet esprit unique, nous avons le devoir de mettre notre jeunesse au premier plan et lui laisser une place de choix », a conclu le patron de l’olympisme sénégalais
Moustapha Guirassy : « Notre Pays Doit Relever Un Double Défi »
Selon le ministre de l’Education nationale : « Notre pays doit, dès lors, relever le double défi d'une organisation réussie et irréprochable et d'une participation positive par l'atteinte de performances sportives de haut niveau. Cette ambition nécessite sans nul doute, de la part de chaque citoyen sénégalais et de nos partenaires stratégiques, un engagement sans faille ».
Par ailleurs, rappelle Moustapha Guirassy, « lors du conseil des ministres du 05 juin 2024, le Président de la République avait demandé au Gouvernement de prendre les mesures visant à renforcer la pratique du sport dans toutes les écoles et universités du Sénégal et à relancer les compétitions sportives scolaires et universitaires sur l'ensemble du territoire national ».
En application de cette directive, la Fédération sénégalaise du Sport scolaire, créée par décret n° 2021-1594 du 02 décembre 2021, a été installée, le 21 juin 2024 par Madame le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en présence des Ministres de la Formation professionnelle et de l'Education nationale. Cette fédération a pu organiser, du 1er au 05 août 2024 à Thiès, le Festival national du Sport scolaire qui a réuni 2356 élèves et encadreurs autour de six (06) disciplines sportives et d'activités citoyennes, une première depuis vingt ans d'absence.
« Cela démontre encore une fois, la place importante réservée au sport dans l'agenda 2050, par les plus hautes autorités de notre pays. Il s'y ajoute les quarante mesures prises par Monsieur le Premier Ministre, Ousmane Sonko, lors du conseil interministériel du 15 octobre 2024, sur la préparation des Jeux olympiques de la Jeunesse », souligne-t-il.
« L'éducation à la citoyenneté et au patriotisme qui est une de nos priorités, peut etre facilement mise en œuvre à travers la pratique sportive, car le sport scolaire vise à développer les capacités des apprenants et à parfaire leurs compétences sportives selon les dimensions suivantes: la socialisation par l'appropriation et le respect des règles ; la formation des attitudes ; la construction du comportement ; l'inculcation des valeurs de paix, de civisme et de citoyenneté ; l'inclusion et le développement équitable ».
Ceci est parfaitement en phase avec la nouvelle vision de mon département qui consiste à « faire évoluer notre système éducatif vers une société éducative inclusive et efficiente pour enfin former à l'horizon 2035, un citoyen bien adossé à son socle endogène de valeurs africaines et spirituelles tout en étant préparé aux défis du développement durable, des sciences et technologies, du numérique et de l'intelligence artificielle".
Selon le président du Comité d’organisation des JOJ, « il s'inscrit en effet, dans la suite de celui conclu en 2020 entre le Ministère de l'Education nationale et le Mouvement olympique et sportif, représenté par le CNOSS, et qui a servi de base jusqu'ici à la mise en œuvre d'importantes activités de sport au sein de l'espace scolaire ».
Toutefois, précise-t-il, «notre partenariat d'aujourd'hui va plus loin. D'abord, il matérialise une des décisions du Premier Ministre Ousmane Sonko prises à l'issue du Conseil Interministériel sur la préparation des JOJ Dakar 2026 tenu le 15 octobre 2026, qui a fortement instruit les parties prenantes pour une large implication de la communauté scolaire dans la préparation et l'organisation des jeux. Ensuite, il repose ainsi sur des valeurs partagées, des ambitions convergentes et une forte volonté d'unir nos forces pour assurer une implication adéquate de la jeunesse sénégalaise, à travers l'Ecole, dans la préparation et la livraison des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 »
Et d’ajouter : « il n'y a pas plus approprié que le cadre de l'école pour garantir l'implication du plus grand nombre de notre jeunesse dans l'organisation des JOJ 2026 et leur laisser un souvenir qui restera à jamais imprimer dans leur conscience. C'est pour cela que le COJOJ a choisi de vous avoir comme partenaire de choix dans le déroulement de trois dimensions majeures de la préparation des Jeux, à savoir : La mise en œuvre du Brevet Olympique, Civique et Sportif, une initiative innovante dont la finalité est d'imprimer partout dans le pays, à travers tous les 11 000 établissements scolaires, l'idéal olympique et les valeurs du civisme et de l'olympisme ».
Selon Diagna Ndiaye, « la tournée de la flamme olympique qui sera relayée dans toutes les académies de notre pays et permettre aux élèves, aux enseignants mais aussi aux parents de communier avec ce symbole fort des jeux. Le concours de création de la mascotte des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026, qui sera lancé officiellement dans les prochaines semaines, et qui sera un moment important d'implication de l'Ecole et de recours à l'imagination de nos jeunes talents pour faire naître un symbole qui marquera l'histoire de jeux et de notre continent ».
« Notre nation sera le miroir de la diversité et de la richesse culturelle de tout le continent africain. A travers ces Jeux, notre nation sera le miroir de la diversité et de la richesse culturelle de tout le continent africain. Pour incarner cet esprit unique, nous avons le devoir de mettre notre jeunesse au premier plan et lui laisser une place de choix », a conclu le patron de l’olympisme sénégalais
Moustapha Guirassy : « Notre Pays Doit Relever Un Double Défi »
Selon le ministre de l’Education nationale : « Notre pays doit, dès lors, relever le double défi d'une organisation réussie et irréprochable et d'une participation positive par l'atteinte de performances sportives de haut niveau. Cette ambition nécessite sans nul doute, de la part de chaque citoyen sénégalais et de nos partenaires stratégiques, un engagement sans faille ».
Par ailleurs, rappelle Moustapha Guirassy, « lors du conseil des ministres du 05 juin 2024, le Président de la République avait demandé au Gouvernement de prendre les mesures visant à renforcer la pratique du sport dans toutes les écoles et universités du Sénégal et à relancer les compétitions sportives scolaires et universitaires sur l'ensemble du territoire national ».
En application de cette directive, la Fédération sénégalaise du Sport scolaire, créée par décret n° 2021-1594 du 02 décembre 2021, a été installée, le 21 juin 2024 par Madame le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, en présence des Ministres de la Formation professionnelle et de l'Education nationale. Cette fédération a pu organiser, du 1er au 05 août 2024 à Thiès, le Festival national du Sport scolaire qui a réuni 2356 élèves et encadreurs autour de six (06) disciplines sportives et d'activités citoyennes, une première depuis vingt ans d'absence.
« Cela démontre encore une fois, la place importante réservée au sport dans l'agenda 2050, par les plus hautes autorités de notre pays. Il s'y ajoute les quarante mesures prises par Monsieur le Premier Ministre, Ousmane Sonko, lors du conseil interministériel du 15 octobre 2024, sur la préparation des Jeux olympiques de la Jeunesse », souligne-t-il.
« L'éducation à la citoyenneté et au patriotisme qui est une de nos priorités, peut etre facilement mise en œuvre à travers la pratique sportive, car le sport scolaire vise à développer les capacités des apprenants et à parfaire leurs compétences sportives selon les dimensions suivantes: la socialisation par l'appropriation et le respect des règles ; la formation des attitudes ; la construction du comportement ; l'inculcation des valeurs de paix, de civisme et de citoyenneté ; l'inclusion et le développement équitable ».
Ceci est parfaitement en phase avec la nouvelle vision de mon département qui consiste à « faire évoluer notre système éducatif vers une société éducative inclusive et efficiente pour enfin former à l'horizon 2035, un citoyen bien adossé à son socle endogène de valeurs africaines et spirituelles tout en étant préparé aux défis du développement durable, des sciences et technologies, du numérique et de l'intelligence artificielle".