« Produire plus de résultats et faire moins de slogans et de propagande ». C’est l’invite du président du parti Rewmi au gouvernement du Président Macky Sall, sur « les questions sérieuses » telles que les inondations, l’insécurité, le chômage, entres autres. Le vendredi dernier, en marge de la prière de Tabaski, le président du Conseil départemental de Thiès a réagi au sermon de l’imam de la grande mosquée de Moussanté, qui a parlé de l’insécurité à laquelle font face les populations.
L’ancien Premier ministre a d’emblée déclaré : « Je voudrais dire toute ma compassion à l’endroit des populations assaillies par les inondations, les difficultés économiques, le chômage, l’insécurité, les agressions, la prolifération de la drogue, de l’alcool. Mais aussi, aux populations qui souffrent dans l’éducation de leurs enfants, ainsi, également, qu’aux difficultés pour accéder à la santé ».
Et il a voulu poursuivre en affirmant : « Toutes ces douleurs nous peinent au plus profond de notre âme et de notre cœur. C’est pourquoi nous exprimons notre compassion aux populations qui les vivent ». Pour le maire sortant de la ville de Thiès, cela « doit nous conduire à inviter tous, le gouvernement, le président de la République, à produire plus de résultats et faire moins de slogans et de propagande sur ces questions sérieuses ».
Sur la question de « l’insécurité galopante sur toute l’étendue du territoire national», Idrissa Seck lâche : « C’est la question principale, puisque depuis l’antiquité la plus reculée que l’humanité ait connue, la première mission de tout Etat est de garantir la sécurité et la paix. C’est la première mesure de l’échec du gouvernement ». Une insécurité croissante qui reste, selon Idrissa Seck, « nourrie et alimentée par la pauvreté, le désœuvrement des jeunes, la prolifération de la drogue et de l’alcool ».
Aussi, souligne-t-il : « Nous devons, tous, nous mobiliser pour que le régime accorde à cette question, toute l’attention quelle mérite et qu’on s’éloigne de la politique politicienne, puisqu’il s’agit là de la vie des gens. Il ne s’agit pas de faire des campagnes médiatiques d’auto promotion de celui-ci ou de celui-là . Il s’agit, véritablement, de se mobiliser au service des populations qui souffrent dans leur chair ».
Mettant à profit cette question sur l’insécurité, le président du Conseil départemental de Thiès a tenu à clarifier le débat sur une récente sortie des jeunes de l’Apr, qui l’accusaient d’être le propriétaire d’une usine de fabrique de boisson alcoolisée à Thiès.
Et M. Seck de souligner : « L’adversité politique ne doit pas pousser les gens à raconter des contre-vérités. Qui me connaît, n’y croira même pas. Il était nécessaire que j’éclaire ce point. Ce sont des mensonges, des contre-vérités. Ils ont l’habitude, mes vis-à -vis, de raconter n’importe quoi sur ma personne, mais cela ne les mènera nulle part », a-t-il clairement indiqué.
L’ancien Premier ministre a d’emblée déclaré : « Je voudrais dire toute ma compassion à l’endroit des populations assaillies par les inondations, les difficultés économiques, le chômage, l’insécurité, les agressions, la prolifération de la drogue, de l’alcool. Mais aussi, aux populations qui souffrent dans l’éducation de leurs enfants, ainsi, également, qu’aux difficultés pour accéder à la santé ».
Et il a voulu poursuivre en affirmant : « Toutes ces douleurs nous peinent au plus profond de notre âme et de notre cœur. C’est pourquoi nous exprimons notre compassion aux populations qui les vivent ». Pour le maire sortant de la ville de Thiès, cela « doit nous conduire à inviter tous, le gouvernement, le président de la République, à produire plus de résultats et faire moins de slogans et de propagande sur ces questions sérieuses ».
Sur la question de « l’insécurité galopante sur toute l’étendue du territoire national», Idrissa Seck lâche : « C’est la question principale, puisque depuis l’antiquité la plus reculée que l’humanité ait connue, la première mission de tout Etat est de garantir la sécurité et la paix. C’est la première mesure de l’échec du gouvernement ». Une insécurité croissante qui reste, selon Idrissa Seck, « nourrie et alimentée par la pauvreté, le désœuvrement des jeunes, la prolifération de la drogue et de l’alcool ».
Aussi, souligne-t-il : « Nous devons, tous, nous mobiliser pour que le régime accorde à cette question, toute l’attention quelle mérite et qu’on s’éloigne de la politique politicienne, puisqu’il s’agit là de la vie des gens. Il ne s’agit pas de faire des campagnes médiatiques d’auto promotion de celui-ci ou de celui-là . Il s’agit, véritablement, de se mobiliser au service des populations qui souffrent dans leur chair ».
Mettant à profit cette question sur l’insécurité, le président du Conseil départemental de Thiès a tenu à clarifier le débat sur une récente sortie des jeunes de l’Apr, qui l’accusaient d’être le propriétaire d’une usine de fabrique de boisson alcoolisée à Thiès.
Et M. Seck de souligner : « L’adversité politique ne doit pas pousser les gens à raconter des contre-vérités. Qui me connaît, n’y croira même pas. Il était nécessaire que j’éclaire ce point. Ce sont des mensonges, des contre-vérités. Ils ont l’habitude, mes vis-à -vis, de raconter n’importe quoi sur ma personne, mais cela ne les mènera nulle part », a-t-il clairement indiqué.