Une fumée noirâtre peint le ciel de la ville. L’atmosphère s’assombrit. L’image est dramatique. Le dépotoir de l’entreprise Patisen a pris feu, hier. Pour le moment, les raisons de l’incendie sont inconnues, nous dit Bes Bi.
Sur les lieux, un homme en polo bleu clair n’a que ses yeux pour constater les dégâts. «Nos voitures ont pris feu. Elles ont été toutes consumées», se désole-t-il, impuissant
. Les stigmates sont visibles. Les murs du dépotoir, jadis jaunâtres, sont tous devenus noirs. L’air chargé de substances toxiques est quasi irrespirable. Trois camions des sapeurs-pompiers lourdement outillés sont stationnés.
Sur les lieux, un homme en polo bleu clair n’a que ses yeux pour constater les dégâts. «Nos voitures ont pris feu. Elles ont été toutes consumées», se désole-t-il, impuissant
. Les stigmates sont visibles. Les murs du dépotoir, jadis jaunâtres, sont tous devenus noirs. L’air chargé de substances toxiques est quasi irrespirable. Trois camions des sapeurs-pompiers lourdement outillés sont stationnés.