Selon Abdou Karim Fofana, ses équipes sont en train de faire des enquêtes et vont suivre ça. « Nous enquêtons sur tout, parce que nous avons plus de 93 commissaires aux enquêtes économiques et des centaines de contrôleurs économiques qui sont sur le terrain et qui vont tous les jours avec un programme de visite», a expliqué M. Fofana. Il a ajouté que lorsque vous ouvrez un espace commercial de plus de 300 m2, il y a des spécifications et des règles particulières d’installation à respecter.
En général, a-t-il dit, il y a beaucoup de bruit avec les France dégage et d’autres (organisations) qui disent qu’il y a un risque sur le petit commerce. Mais en général, affirme le ministre, ce n’est pas les mêmes types de produits qui sont vendus.
«Il faut que nos commerçants prennent aussi de grosses initiatives. Moi, je ne peux comprendre que 63 ans après notre indépendance, au Sénégal, qu’on ne sache pas installer une grande surface de façon pérenne. Nos capitaines d’industrie doivent être en mesure d’installer un réseau de grande distribution. Le capital existe et nous avons beaucoup de compatriotes à l’international qui ont travaillé dans ces grandes surfaces et qui ont le savoir-faire. Quand on a le capital, on doit pouvoir développer des choses et ne pas être là à dire pourquoi l’autre vient chez moi. Nous sommes dans un monde ouvert. Il faut qu’on s’organise et qu’on prenne nos destins en main », a plaidé le ministre du Commerce.
En général, a-t-il dit, il y a beaucoup de bruit avec les France dégage et d’autres (organisations) qui disent qu’il y a un risque sur le petit commerce. Mais en général, affirme le ministre, ce n’est pas les mêmes types de produits qui sont vendus.
«Il faut que nos commerçants prennent aussi de grosses initiatives. Moi, je ne peux comprendre que 63 ans après notre indépendance, au Sénégal, qu’on ne sache pas installer une grande surface de façon pérenne. Nos capitaines d’industrie doivent être en mesure d’installer un réseau de grande distribution. Le capital existe et nous avons beaucoup de compatriotes à l’international qui ont travaillé dans ces grandes surfaces et qui ont le savoir-faire. Quand on a le capital, on doit pouvoir développer des choses et ne pas être là à dire pourquoi l’autre vient chez moi. Nous sommes dans un monde ouvert. Il faut qu’on s’organise et qu’on prenne nos destins en main », a plaidé le ministre du Commerce.