Décidément, le centre hospitalier régional de Ourossogui ne veut plus quitter le devant de la scène médiatique. Alors qu’une partie des travailleurs est en guerre ouverte avec le directeur pour une augmentation unilatérale des primes, c’est une autre affaire de sous qui vient éclabousser la quiétude de la structure d’envergure de santé de la ville carrefour.
En effet, le PCA de l’hôpital de Ourossogui, qui est par ailleurs le président du conseil départemental de Matam, percevrait mensuellement un demi million des fonds de l’hôpital.
Selon le secrétaire général régional du Sutsas, Mamadou LamineSano, cette affaire est suffisamment scandaleuse pour mériter des explications claires de la personne morale de l’hôpital. C’est ainsi qu’il a adressé une lettre au directeur avec ampliation au Gouverneur et au PCA.
Cette information, si elle est avérée, va davantage envenimer la situation déjà explosive qui règne, depuis plus d’une année, au sein de l’hôpital de Ourossogui. La revalorisation exclusive des primes du directeur est décriée par une partie des travailleurs amenée par Sano et Cheikh Bouya Niang.
Des séries de manifestations ont été déroulées, mais qui, jusqu’ici, n’ont pas réussi à faire fléchir le directeur. La situation conflictuelle a conduit le maître des céans à relever Mamadou Sano de son poste de chef de service des infirmiers. Les médiations entreprises n’ont pas encore porté leurs fruits.
Le syndicat continue sa lutte et a tenu un sit-in mardi, en plus d’avoir décrété la rétention d’informations sur la récente campagne de vaccination
En effet, le PCA de l’hôpital de Ourossogui, qui est par ailleurs le président du conseil départemental de Matam, percevrait mensuellement un demi million des fonds de l’hôpital.
Selon le secrétaire général régional du Sutsas, Mamadou LamineSano, cette affaire est suffisamment scandaleuse pour mériter des explications claires de la personne morale de l’hôpital. C’est ainsi qu’il a adressé une lettre au directeur avec ampliation au Gouverneur et au PCA.
Cette information, si elle est avérée, va davantage envenimer la situation déjà explosive qui règne, depuis plus d’une année, au sein de l’hôpital de Ourossogui. La revalorisation exclusive des primes du directeur est décriée par une partie des travailleurs amenée par Sano et Cheikh Bouya Niang.
Des séries de manifestations ont été déroulées, mais qui, jusqu’ici, n’ont pas réussi à faire fléchir le directeur. La situation conflictuelle a conduit le maître des céans à relever Mamadou Sano de son poste de chef de service des infirmiers. Les médiations entreprises n’ont pas encore porté leurs fruits.
Le syndicat continue sa lutte et a tenu un sit-in mardi, en plus d’avoir décrété la rétention d’informations sur la récente campagne de vaccination
Rapporte Vipeoples .