« Inali Lahi wa ina Ileyhi Radjihone,
La presse sénégalaise vient de perdre un de ses piliers, une icône, dont le nom renvoie aussitôt, au grand professionnel de la communication que fût Mbaye Sidy Mbaye.
Nos chemins se sont croisés au boulevard de la République, ancienne maison de la Rts où il est arrivé, alors que j’étais sur le départ pour la voix de l’Allemagne en 1978. On a eu à partager une seule fois, le plateau de la radio pour la présentation du journal parlé de 13 heures à mon retour en 1981.
Je suis parti à la télévision et lui, est resté à la radio où il a occupé de hautes fonctions et animé brillamment des chroniques.
L’on s’est également suivi dans les missions diplomatiques, quand j’ai quitté Bonn en 1989, lui était affecté à Bruxelles avec les mêmes rangs et fonctions de 2e conseiller, chargé de culture et de communication.
Idem, pour le Cesti où l’on s’est suivi comme enseignant vacataire. L’on s’est rencontré la dernière fois quand je suis allé prier à la Mosquée Ibadou de l’Avenue Malick Sy où il avait son grand- place. A cette occasion, je lui ai offert mes deux ouvrages, réalisés sur le Président Senghor et le pèlerinage à la Mecque. Et, il a eu ces mots d’encouragements pour mon fils, Birahim:"il est bien éduqué, ça c'est toi, et il est performant, c’est son mérite personnel ".
Qu Allah SWT l’accueille à Janatoul Firdaws bibarakati Seydoul Woudjoud et l intercession de notre commun Wassila, Cheikh Saadou Habi.Wa Khayartoubi. »
La presse sénégalaise vient de perdre un de ses piliers, une icône, dont le nom renvoie aussitôt, au grand professionnel de la communication que fût Mbaye Sidy Mbaye.
Nos chemins se sont croisés au boulevard de la République, ancienne maison de la Rts où il est arrivé, alors que j’étais sur le départ pour la voix de l’Allemagne en 1978. On a eu à partager une seule fois, le plateau de la radio pour la présentation du journal parlé de 13 heures à mon retour en 1981.
Je suis parti à la télévision et lui, est resté à la radio où il a occupé de hautes fonctions et animé brillamment des chroniques.
L’on s’est également suivi dans les missions diplomatiques, quand j’ai quitté Bonn en 1989, lui était affecté à Bruxelles avec les mêmes rangs et fonctions de 2e conseiller, chargé de culture et de communication.
Idem, pour le Cesti où l’on s’est suivi comme enseignant vacataire. L’on s’est rencontré la dernière fois quand je suis allé prier à la Mosquée Ibadou de l’Avenue Malick Sy où il avait son grand- place. A cette occasion, je lui ai offert mes deux ouvrages, réalisés sur le Président Senghor et le pèlerinage à la Mecque. Et, il a eu ces mots d’encouragements pour mon fils, Birahim:"il est bien éduqué, ça c'est toi, et il est performant, c’est son mérite personnel ".
Qu Allah SWT l’accueille à Janatoul Firdaws bibarakati Seydoul Woudjoud et l intercession de notre commun Wassila, Cheikh Saadou Habi.Wa Khayartoubi. »