Les académies les plus touchées
Les données révèlent des disparités inquiétantes. Les académies de Fatick (166 cas, soit 13,81 %) et Ziguinchor (157 cas, soit 13,06 %) enregistrent les taux les plus élevés. D’autres régions comme Sédhiou (134 cas, 11,15 %), Tambacounda (100 cas, 8,32 %) et Kolda (91 cas, 7,57 %) suivent de près. En revanche, des régions comme Dakar présentent des chiffres plus faibles (7 cas, 0,58 %), mais l’urgence d’agir reste la même.
Des causes multiples et complexes
Le phénomène s’explique par une combinaison de facteurs :
1. Manque de sensibilisation : Le tabou autour de la sexualité freine l’éducation préventive.
2. Failles dans l’encadrement : L’absence de dialogue et de suivi dans les familles et les écoles, favorise les risques.
3. Précarité socio-économique : Les inégalités sociales exposent davantage les jeunes filles.
4. Conditions scolaires difficiles : Les trajets longs et l’absence d’internats sécurisés, aggravent la situation.
Le SELS/A interpelle les autorités
Le syndicat réclame une intervention urgente de l’État et des collectivités locales pour :
• Instaurer des programmes de sensibilisation sur la santé sexuelle et reproductive.
• Renforcer la sécurité des établissements et des trajets scolaires.
• Promouvoir une collaboration active entre enseignants, parents et partenaires sociaux.
Pour le SELS/A, il est impératif de garantir un environnement éducatif sécurisé, où chaque élève peut apprendre dans la dignité et aspirer à un avenir meilleur.
Les données révèlent des disparités inquiétantes. Les académies de Fatick (166 cas, soit 13,81 %) et Ziguinchor (157 cas, soit 13,06 %) enregistrent les taux les plus élevés. D’autres régions comme Sédhiou (134 cas, 11,15 %), Tambacounda (100 cas, 8,32 %) et Kolda (91 cas, 7,57 %) suivent de près. En revanche, des régions comme Dakar présentent des chiffres plus faibles (7 cas, 0,58 %), mais l’urgence d’agir reste la même.
Des causes multiples et complexes
Le phénomène s’explique par une combinaison de facteurs :
1. Manque de sensibilisation : Le tabou autour de la sexualité freine l’éducation préventive.
2. Failles dans l’encadrement : L’absence de dialogue et de suivi dans les familles et les écoles, favorise les risques.
3. Précarité socio-économique : Les inégalités sociales exposent davantage les jeunes filles.
4. Conditions scolaires difficiles : Les trajets longs et l’absence d’internats sécurisés, aggravent la situation.
Le SELS/A interpelle les autorités
Le syndicat réclame une intervention urgente de l’État et des collectivités locales pour :
• Instaurer des programmes de sensibilisation sur la santé sexuelle et reproductive.
• Renforcer la sécurité des établissements et des trajets scolaires.
• Promouvoir une collaboration active entre enseignants, parents et partenaires sociaux.
Pour le SELS/A, il est impératif de garantir un environnement éducatif sécurisé, où chaque élève peut apprendre dans la dignité et aspirer à un avenir meilleur.