Si les autorités sénégalaises ont tenu des réunions sur la question, aucune communication officielle n’a été faite à l’endroit des citoyens, y compris des populations riveraines des infrastructures gazières. L’exploitant principal, BP, ainsi que Petrosen, représentant l’État dans le consortium, n’ont pas non plus fourni d’informations publiques sur l’ampleur de l’incident.
Face à ce manque de transparence, le think tank LEGS-Africa, actif à Saint-Louis sur les questions environnementales liées au projet GTA, a mené des investigations. Il interpelle le ministère en charge des hydrocarbures, Petrosen et BP, sur la nécessité d’informer la population sur les causes et les conséquences de cette fuite. L’organisation souligne l’urgence d’évaluer les impacts sur l’environnement marin, la sécurité des riverains et les émissions de gaz à effet de serre.
LEGS-Africa rappelle à l’État du Sénégal ses obligations légales en matière de gouvernance des ressources naturelles et insiste sur l’importance de mesures concrètes pour maîtriser les effets environnementaux et sociaux de l’exploitation pétrolière et gazière.
Face à ce manque de transparence, le think tank LEGS-Africa, actif à Saint-Louis sur les questions environnementales liées au projet GTA, a mené des investigations. Il interpelle le ministère en charge des hydrocarbures, Petrosen et BP, sur la nécessité d’informer la population sur les causes et les conséquences de cette fuite. L’organisation souligne l’urgence d’évaluer les impacts sur l’environnement marin, la sécurité des riverains et les émissions de gaz à effet de serre.
LEGS-Africa rappelle à l’État du Sénégal ses obligations légales en matière de gouvernance des ressources naturelles et insiste sur l’importance de mesures concrètes pour maîtriser les effets environnementaux et sociaux de l’exploitation pétrolière et gazière.