«La transition de l'économie informelle vers des économies collectives et durables pour les territoire» est le thème du forum qui se tiendra du 1er au 6 mai 2023. Victorine Ndèye, ministre de la Microfinance et de l’économie sociale et solidaire se félicite de l’état d’avancement des préparatifs du Forum mondial de l’économie sociale et solidaire.
Elle laisse entendre que le gouvernement du Sénégal a fait de l’économie sociale et solidaire une priorité fondamentale qui contribue à renforcer une société démocratique et à créer de la valeur ajoutée dans les secteurs formels et informels par la redistribution des richesses, en promouvant les entreprises et les organisations fondées sur la solidarité et l'importance des enjeux sociaux.
À la tête de la cité hôte de l’événement, Barthélemy Dias, maire de Dakar se réjouit d’accueillir le Forum pour la première fois en terre africaine et estime que c’est un honneur pour tous les Sénégalais. Disant prendre la responsabilité de porter la voix de l’Afrique pour cette première édition sur le continent, il indique, à travers un communiqué, que le secteur informel représente 80% de l’économie du continent alors que 70% de sa population a moins de 30 ans. Ce capital humain est frappé par le chômage, le sous-emploi, le manque de formation et d’opportunités.
«La croissance de l’Afrique pourrait être deux fois plus forte si notre Indice de Développement Humain (Idh) était plus élevé», rajoute-t-il.
Le Forum mondial sur l'économie sociale et solidaire 2023 décline son ambition : «susciter la création de 20 millions d’opportunités de formation, d’expérience professionnelle, d’emplois, d’accès au financement à partir de 2023, pour atteindre les Objectifs du développement durable (Odd) en 2030». Cela requiert une collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs du développement économique et social, explique Barthélémy Dias.
L’«Appel de Dakar» aura une tonalité résolument offensive. «Nous voulons un Forum d’action, et pas seulement un Forum d’idées», poursuit Barthélemy Dias. Maire de Bordeaux et coprésident du Gsef, Pierre Hurmic abonde dans le même sens.
«L’économie sociale et solidaire doit devenir la norme qui régulera l’économie de demain, la norme qui impose le primat de l’humain et du projet collectif sur le capital, qui structure une économie de la proximité et du long terme», assure-t-il.
Tribune
Elle laisse entendre que le gouvernement du Sénégal a fait de l’économie sociale et solidaire une priorité fondamentale qui contribue à renforcer une société démocratique et à créer de la valeur ajoutée dans les secteurs formels et informels par la redistribution des richesses, en promouvant les entreprises et les organisations fondées sur la solidarité et l'importance des enjeux sociaux.
À la tête de la cité hôte de l’événement, Barthélemy Dias, maire de Dakar se réjouit d’accueillir le Forum pour la première fois en terre africaine et estime que c’est un honneur pour tous les Sénégalais. Disant prendre la responsabilité de porter la voix de l’Afrique pour cette première édition sur le continent, il indique, à travers un communiqué, que le secteur informel représente 80% de l’économie du continent alors que 70% de sa population a moins de 30 ans. Ce capital humain est frappé par le chômage, le sous-emploi, le manque de formation et d’opportunités.
«La croissance de l’Afrique pourrait être deux fois plus forte si notre Indice de Développement Humain (Idh) était plus élevé», rajoute-t-il.
Le Forum mondial sur l'économie sociale et solidaire 2023 décline son ambition : «susciter la création de 20 millions d’opportunités de formation, d’expérience professionnelle, d’emplois, d’accès au financement à partir de 2023, pour atteindre les Objectifs du développement durable (Odd) en 2030». Cela requiert une collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs du développement économique et social, explique Barthélémy Dias.
L’«Appel de Dakar» aura une tonalité résolument offensive. «Nous voulons un Forum d’action, et pas seulement un Forum d’idées», poursuit Barthélemy Dias. Maire de Bordeaux et coprésident du Gsef, Pierre Hurmic abonde dans le même sens.
«L’économie sociale et solidaire doit devenir la norme qui régulera l’économie de demain, la norme qui impose le primat de l’humain et du projet collectif sur le capital, qui structure une économie de la proximité et du long terme», assure-t-il.
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