Dans un communiqué rendu public ce jour, le Conseil académique, sous la présidence du recteur Pr. Alassane Diédhiou, a annoncé la fermeture temporaire du campus pédagogique, « jusqu’à nouvel ordre ». Cette décision fait suite à une réunion d’urgence, convoquée pour examiner la situation préoccupante actuelle.
Parmi les décisions prises figurent : la fermeture du campus pédagogique, une mesure visant à garantir la sécurité des biens et des personnes; La dissolution des amicales étudiantes et la suspension de leurs activités de renouvellement : ces associations sont accusées d’être à l’origine de certaines perturbations; La dissolution de la coordination des étudiants : considérée comme un acteur clé des mobilisations et la saisine des instances internes (conseils d’UFR et de département), pour élaborer des propositions sur les modalités de reprise.
Le communiqué précise que cette fermeture ne concerne pas le Centre Universitaire de Kolda ni l’UFR 2S (Sciences et Santé), où les cours se poursuivront en mode distanciel.
Les revendications des étudiants, centrées sur la livraison des infrastructures en chantier, traduisent un malaise profond. Selon plusieurs témoignages, les retards dans la finalisation des travaux compromettent les conditions de vie et d’études. Les récentes manifestations ont dégénéré en affrontements avec les forces de l’ordre, accentuant la crise.
Parmi les décisions prises figurent : la fermeture du campus pédagogique, une mesure visant à garantir la sécurité des biens et des personnes; La dissolution des amicales étudiantes et la suspension de leurs activités de renouvellement : ces associations sont accusées d’être à l’origine de certaines perturbations; La dissolution de la coordination des étudiants : considérée comme un acteur clé des mobilisations et la saisine des instances internes (conseils d’UFR et de département), pour élaborer des propositions sur les modalités de reprise.
Le communiqué précise que cette fermeture ne concerne pas le Centre Universitaire de Kolda ni l’UFR 2S (Sciences et Santé), où les cours se poursuivront en mode distanciel.
Les revendications des étudiants, centrées sur la livraison des infrastructures en chantier, traduisent un malaise profond. Selon plusieurs témoignages, les retards dans la finalisation des travaux compromettent les conditions de vie et d’études. Les récentes manifestations ont dégénéré en affrontements avec les forces de l’ordre, accentuant la crise.