Toutefois, ce regain de l’activité économique est en recul par rapport aux 10 % annoncés en début d’année par les autorités.
Cela s’explique, selon Macky Sall, “par l’incertitude sur le moment du démarrage effectif de l’exploitation du pétrole et du gaz. On ne sait pas si cela va commencer en novembre, décembre 2023 ou janvier 2024. Mais cela nous laisse sur un taux de croissance qui triple pratiquement la moyenne africaine de 3 %”.
Si l’exploitation des hydrocarbures ne va pas faire du Sénégal un petit État du Golfe, le président de la République a listé les grands apports qu’elle aura pour l’économie nationale.
D’abord, soutient-il, elle permettra au Sénégal de changer de statut économique, de récupérer des emplois et des contrats lucratifs avec la loi sur le contenu local. Mais cela permettra aussi de ne plus importer du pétrole et de garder les ressources (plus de 600 milliards/an) dédiées pour d’autres investissements, d’avoir une meilleure signature pour emprunter, de diminuer les prix de l’énergie au Sénégal
Cela s’explique, selon Macky Sall, “par l’incertitude sur le moment du démarrage effectif de l’exploitation du pétrole et du gaz. On ne sait pas si cela va commencer en novembre, décembre 2023 ou janvier 2024. Mais cela nous laisse sur un taux de croissance qui triple pratiquement la moyenne africaine de 3 %”.
Si l’exploitation des hydrocarbures ne va pas faire du Sénégal un petit État du Golfe, le président de la République a listé les grands apports qu’elle aura pour l’économie nationale.
D’abord, soutient-il, elle permettra au Sénégal de changer de statut économique, de récupérer des emplois et des contrats lucratifs avec la loi sur le contenu local. Mais cela permettra aussi de ne plus importer du pétrole et de garder les ressources (plus de 600 milliards/an) dédiées pour d’autres investissements, d’avoir une meilleure signature pour emprunter, de diminuer les prix de l’énergie au Sénégal