Cette fois-ci, c’est le préfet de Kanel qui entre dans la danse, après avoir «décidé» d’arrêter les activités de la Serpm à qui la Cour suprême avait donné raison. C’est de Paris que la Directrice de la société, Mme Amar, a saisi ses avocats pour entamer une action en justice contre les agissements du Préfet qui, «sous le prétexte fallacieux de troubles à l’ordre public, tente de prêter main forte aux perdants en menaçant de signer un arrêté pour fermer la petite mine, objet de toutes les convoitises.»
D’après des informations de L’Observateur, le pool d’avocats de la Serpm travaille sur la riposte à donner au Préfet pour «abus d’autorité», entre autres griefs. La décision de l’autorité se fonde sur les «agissements d’une poignée de personnes» envoyées pour provoquer les travailleurs. «Cette stratégie est mûrie par un homme d’affaires et maire à qui la petite mine aurait été promise», confie-t-on. «
Et au lieu de rappeler les perturbateurs à l’ordre, l’on tente de camoufler la manœuvre en insinuant des risques d’affrontements qui n’existent que dans l’esprit de ceux qui y pensent», éclaire-t-on. Seulement, cette affaire annonce un déballage en raison de «connexions douteuses et une collision entre des autorités et l’homme d’affaires qui tient à ce que la promesse qui lui a été faite soit respectée». La Serpm, quant à elle, ne compte pas se laisser faire et s’engage à défendre son bien à tout prix.
D’après des informations de L’Observateur, le pool d’avocats de la Serpm travaille sur la riposte à donner au Préfet pour «abus d’autorité», entre autres griefs. La décision de l’autorité se fonde sur les «agissements d’une poignée de personnes» envoyées pour provoquer les travailleurs. «Cette stratégie est mûrie par un homme d’affaires et maire à qui la petite mine aurait été promise», confie-t-on. «
Et au lieu de rappeler les perturbateurs à l’ordre, l’on tente de camoufler la manœuvre en insinuant des risques d’affrontements qui n’existent que dans l’esprit de ceux qui y pensent», éclaire-t-on. Seulement, cette affaire annonce un déballage en raison de «connexions douteuses et une collision entre des autorités et l’homme d’affaires qui tient à ce que la promesse qui lui a été faite soit respectée». La Serpm, quant à elle, ne compte pas se laisser faire et s’engage à défendre son bien à tout prix.