Nos radars ont raté l’événement. Samedi dernier, la présidente du Haut Conseil du Dialogue social (HCDS), Mme Innocence Ntap Ndiaye, a reçu le Trophée de l’Association sénégalaise des Professionnels des ressources humaines (ASPRH).
En fait au-delà du trophée, mentionne LeTémoin, c’est la réussite de la femme sénégalaise qui a été magnifiée par les dirigeants de l’ASPRH, une associée présidée par Ibrahima Mbaye. L’ASPRH a fait exprès de fêter la femme en ce mois de mars qui est consacré à la femme. Absente de Dakar au moment de l’événement, la présidente du Haut Conseil s’est fait représenter. Elle dit néanmoins avoir dédié le trophée « à toutes les femmes qui se battent jour et nuit pour les droits des femmes ». La présidente Innocence Ntap Ndiaye avait été déjà primée dans son leadership féminin avec le Prix Ragnée du promoteur Alioune Mbengue. Nommée en 2015 à la tête de cet organe tripartite (employés, patronat et Etat) orienté vers le dialogue, Mme Innocence Ntap Ndiaye a fini de faire du HCDS une institution incontournable dans la recherche de la paix sociale au Sénégal. Nombre de conflits sociaux ont connu un dénouement heureux grâce à l’engagement de cette grande Dame. Le dernier en date est la longue crise du système éducatif.
La réussite d’ « Inno » s’explique surtout par une connaissance du milieu du dialogue social. Elle a débuté sa carrière comme juriste d’entreprise dans le domaine de l’hydraulique urbaine après des études en sciences juridiques et économiques de l’Université de Dakar. Il faut rappeler que la présidente Innocence Ntap Ndiaye fut la première femme ministre de la Fonction publique, du Travail, de l’Emploi et des Organisations professionnelles en 2007 et 2ème femme ministre d’Etat après Aminata Tall en 2009 auprès du président de la République. Elle était en charge des Affaires sociales. Un parcours sans faute qui a poussé, la semaine dernière, le nouveau médiateur le juge Demba Kandji à aller à l’école du Haut conseil pour s’abreuver à sa source en matière de médiation sociale. La grande Dame a fini de faire des jaloux surtout que le président de la République ne manque pratiquement jamais, en Conseil des ministres, de demander à son Gouvernement d’impliquer le Haut conseil dans toute résolution d’une crise sociale.
En fait au-delà du trophée, mentionne LeTémoin, c’est la réussite de la femme sénégalaise qui a été magnifiée par les dirigeants de l’ASPRH, une associée présidée par Ibrahima Mbaye. L’ASPRH a fait exprès de fêter la femme en ce mois de mars qui est consacré à la femme. Absente de Dakar au moment de l’événement, la présidente du Haut Conseil s’est fait représenter. Elle dit néanmoins avoir dédié le trophée « à toutes les femmes qui se battent jour et nuit pour les droits des femmes ». La présidente Innocence Ntap Ndiaye avait été déjà primée dans son leadership féminin avec le Prix Ragnée du promoteur Alioune Mbengue. Nommée en 2015 à la tête de cet organe tripartite (employés, patronat et Etat) orienté vers le dialogue, Mme Innocence Ntap Ndiaye a fini de faire du HCDS une institution incontournable dans la recherche de la paix sociale au Sénégal. Nombre de conflits sociaux ont connu un dénouement heureux grâce à l’engagement de cette grande Dame. Le dernier en date est la longue crise du système éducatif.
La réussite d’ « Inno » s’explique surtout par une connaissance du milieu du dialogue social. Elle a débuté sa carrière comme juriste d’entreprise dans le domaine de l’hydraulique urbaine après des études en sciences juridiques et économiques de l’Université de Dakar. Il faut rappeler que la présidente Innocence Ntap Ndiaye fut la première femme ministre de la Fonction publique, du Travail, de l’Emploi et des Organisations professionnelles en 2007 et 2ème femme ministre d’Etat après Aminata Tall en 2009 auprès du président de la République. Elle était en charge des Affaires sociales. Un parcours sans faute qui a poussé, la semaine dernière, le nouveau médiateur le juge Demba Kandji à aller à l’école du Haut conseil pour s’abreuver à sa source en matière de médiation sociale. La grande Dame a fini de faire des jaloux surtout que le président de la République ne manque pratiquement jamais, en Conseil des ministres, de demander à son Gouvernement d’impliquer le Haut conseil dans toute résolution d’une crise sociale.