Ce mercredi 20 avril 2022, à Diourbel, le président national du Collectif des Daaras modernes du Sénégal, Serigne Omar Tandian, qui fêtait les talibés, à l’occasion de cette journée nationale du talibé, après avoir rappelé que cette journée donne toujours l’occasion aux acteurs des Daaras pour discuter des problèmes liés à la gestion des talibés et de la situation des Serigne Daaras, n’a pas manqué de féliciter les «Ndongos Daaras» ou talibés qui se sont distingués lors des concours de récital de Coran au niveau national, continental et mondial.
Ces succès de ces braves et talentueux talibés qui sont tous de la région de Diourbel, a-t-il salué, honorent aussi le Sénégal. Ce qui les pousse à remercier très sincèrement l’État du Sénégal qui a déployé tous les efforts pour mettre en place une série de programmes destinés aux Daaras comme le Paqueeb, financé par la banque mondiale pour l’éducation qui, de la même manière qu’il intervient dans les écoles, le fait aussi bien dans les Daaras. Pamod, un autre programme du gouvernement du Sénégal et de la banque islamique de développement qui n’intervient que dans les Daaras.
Sans compter aussi le Pipadh, un programme qui joue le même rôle aussi dans les Daaras. Si le gouvernement du Sénégal fait tout ça pour les Daaras, c’est parce qu’il donne de l’importance à ce secteur, ont-ils reconnu.
C’est pourquoi, pensent-ils, cette journée qui est une occasion pour fêter les talibés doit l’être aussi pour remercier l’État du Sénégal à travers l’Ief (Inspections de l’éducation et de la formation) de Diourbel et les autres Ief qui sont dans les autres départements du Sénégal.
Sans oublier de rappeler à l’État du Sénégal de revoir le statut de ces Daaras. Même s’ils reconnaissent que beaucoup de solutions ont été trouvées pour les Daaras, ça ne les empêche pas de dire encore que la bonne solution et la plus importante, c’est de faire voter le projet de loi qui organise et réglemente les Daaras.
Le président du collectif rappelle que, pour cela, le collectif et la fédération, en accord avec l’État du Sénégal, avaient élaboré ce projet de loi qui a été soumis à l’approbation du président de la République.
Le collectif pense que ce projet de loi, s’il était voté, tout ce que l’État fait pour les Daaras aurait plus de sens et d’impact. Et ne peuvent pas comprendre que ce projet de loi, après son élaboration, depuis ces années, dort toujours dans les tiroirs alors que d’autres plus récents sur la politique sont votés.
Et pourtant, soutiennent-ils, il ne peut y avoir de projets de loi plus important que celui concernant la réorganisation des Daaras qui, aujourd’hui, satisfaits à plus d’un titre et se montrent honorablement au niveau mondial par la qualité des produits qu’ils présentent.
Ces succès de ces braves et talentueux talibés qui sont tous de la région de Diourbel, a-t-il salué, honorent aussi le Sénégal. Ce qui les pousse à remercier très sincèrement l’État du Sénégal qui a déployé tous les efforts pour mettre en place une série de programmes destinés aux Daaras comme le Paqueeb, financé par la banque mondiale pour l’éducation qui, de la même manière qu’il intervient dans les écoles, le fait aussi bien dans les Daaras. Pamod, un autre programme du gouvernement du Sénégal et de la banque islamique de développement qui n’intervient que dans les Daaras.
Sans compter aussi le Pipadh, un programme qui joue le même rôle aussi dans les Daaras. Si le gouvernement du Sénégal fait tout ça pour les Daaras, c’est parce qu’il donne de l’importance à ce secteur, ont-ils reconnu.
C’est pourquoi, pensent-ils, cette journée qui est une occasion pour fêter les talibés doit l’être aussi pour remercier l’État du Sénégal à travers l’Ief (Inspections de l’éducation et de la formation) de Diourbel et les autres Ief qui sont dans les autres départements du Sénégal.
Sans oublier de rappeler à l’État du Sénégal de revoir le statut de ces Daaras. Même s’ils reconnaissent que beaucoup de solutions ont été trouvées pour les Daaras, ça ne les empêche pas de dire encore que la bonne solution et la plus importante, c’est de faire voter le projet de loi qui organise et réglemente les Daaras.
Le président du collectif rappelle que, pour cela, le collectif et la fédération, en accord avec l’État du Sénégal, avaient élaboré ce projet de loi qui a été soumis à l’approbation du président de la République.
Le collectif pense que ce projet de loi, s’il était voté, tout ce que l’État fait pour les Daaras aurait plus de sens et d’impact. Et ne peuvent pas comprendre que ce projet de loi, après son élaboration, depuis ces années, dort toujours dans les tiroirs alors que d’autres plus récents sur la politique sont votés.
Et pourtant, soutiennent-ils, il ne peut y avoir de projets de loi plus important que celui concernant la réorganisation des Daaras qui, aujourd’hui, satisfaits à plus d’un titre et se montrent honorablement au niveau mondial par la qualité des produits qu’ils présentent.