Pour Serigne Omar Tandian, la rareté de l’inscription des enfants dans ces établissements s’explique par l’inadéquation du programme actuel avec les attentes des parents, pour qui l’éducation religieuse et l’apprentissage du Coran doivent être prioritaires. Selon lui, l’éducation, particulièrement au préscolaire, doit impliquer deux acteurs principaux : l’État, en charge de la gouvernance, et les parents, qui sont les premiers concernés par l’avenir de leurs enfants.
Il estime que les parents de la région souhaitent que l’éducation religieuse soit au cœur du cursus préscolaire. Un système éducatif en phase avec les réalités locales, où la majorité de la population est musulmane, permettrait d'augmenter significativement le taux de fréquentation. Serigne Omar Tandian rappelle que, selon les enseignements de l’islam, les parents ont la responsabilité d’instruire leurs enfants dans les valeurs religieuses et dans l’apprentissage du Coran, comme l’a recommandé le Prophète Mahomet (PSL), pour qui l’éducation commence dès le berceau.
Le faible taux de fréquentation des cases des tout-petits à Diourbel reflète donc, selon lui, l’absence d’une adéquation entre les programmes éducatifs proposés et les attentes religieuses des parents. Fort de son expérience dans la création d’établissements préscolaires axés sur l’enseignement du Coran, Serigne Omar Tandian se dit convaincu que ce modèle éducatif est porteur. Il affirme que ces établissements, plébiscités par les parents, comptent parmi leurs anciens élèves des diplômés, des docteurs et des citoyens actifs au service du pays.
En conclusion, Serigne Omar Tandian considère que l’enfant qui commence son apprentissage par le Coran excelle par la suite dans les autres établissements. Il encourage donc vivement la réalisation de cette initiative de Daaras intégrés aux cases des tout-petits, convaincu qu’elle répondra aux attentes des familles de la région.
Avec Tribune
Il estime que les parents de la région souhaitent que l’éducation religieuse soit au cœur du cursus préscolaire. Un système éducatif en phase avec les réalités locales, où la majorité de la population est musulmane, permettrait d'augmenter significativement le taux de fréquentation. Serigne Omar Tandian rappelle que, selon les enseignements de l’islam, les parents ont la responsabilité d’instruire leurs enfants dans les valeurs religieuses et dans l’apprentissage du Coran, comme l’a recommandé le Prophète Mahomet (PSL), pour qui l’éducation commence dès le berceau.
Le faible taux de fréquentation des cases des tout-petits à Diourbel reflète donc, selon lui, l’absence d’une adéquation entre les programmes éducatifs proposés et les attentes religieuses des parents. Fort de son expérience dans la création d’établissements préscolaires axés sur l’enseignement du Coran, Serigne Omar Tandian se dit convaincu que ce modèle éducatif est porteur. Il affirme que ces établissements, plébiscités par les parents, comptent parmi leurs anciens élèves des diplômés, des docteurs et des citoyens actifs au service du pays.
En conclusion, Serigne Omar Tandian considère que l’enfant qui commence son apprentissage par le Coran excelle par la suite dans les autres établissements. Il encourage donc vivement la réalisation de cette initiative de Daaras intégrés aux cases des tout-petits, convaincu qu’elle répondra aux attentes des familles de la région.
Avec Tribune