La révision des listes électorales a démarré hier, à Saint-Louis, à l’instar des autres localités du pays. Au premier jour de l’opération, l’on a noté un rush dans la seule commission située à la Préfecture. Face à cette situation, certains acteurs politiques ont plaidé pour l’éclatement de la commission en quatre, afin de faciliter les opérations.
A en croire "L'As", la préfecture de Saint-Louis qui abrite la commission de révision des listes électorales, a été prise d’assaut par les populations hier, au premier jour de l’opération. A cause de la grande ruée, l’attente a été longue pour les citoyens dont certains n’ont pas manqué de râler. «Nous sommes venus depuis 6 heures du matin, mais il y a une forte affluence et l’organisation laisse à désirer», a soutenu Amadou Ngom résidant à Diamaguène.
Son rêve est de s’inscrire sur les listes électorales pour pouvoir accomplir son devoir civique le 25 février 2023. Se trouvant dans la même situation qu’Amadou Ngom, les personnes interrogées proposent une meilleure organisation. «On devait ouvrir une liste, inscrire les citoyens selon leur ordre d’arrivée et faire par la suite l’appel. Chacun saura derrière qui il est. Il y a un monde fou sur le site qui est très étroit pour contenir cette marée humaine», souligne Alioune Mbaye Diop.
A en croire "L'As", la préfecture de Saint-Louis qui abrite la commission de révision des listes électorales, a été prise d’assaut par les populations hier, au premier jour de l’opération. A cause de la grande ruée, l’attente a été longue pour les citoyens dont certains n’ont pas manqué de râler. «Nous sommes venus depuis 6 heures du matin, mais il y a une forte affluence et l’organisation laisse à désirer», a soutenu Amadou Ngom résidant à Diamaguène.
Son rêve est de s’inscrire sur les listes électorales pour pouvoir accomplir son devoir civique le 25 février 2023. Se trouvant dans la même situation qu’Amadou Ngom, les personnes interrogées proposent une meilleure organisation. «On devait ouvrir une liste, inscrire les citoyens selon leur ordre d’arrivée et faire par la suite l’appel. Chacun saura derrière qui il est. Il y a un monde fou sur le site qui est très étroit pour contenir cette marée humaine», souligne Alioune Mbaye Diop.