Ce 9 mai est célébrée la journée de l’Europe. Il s’agit de l'anniversaire de la déclaration prononcée par Robert Schuman, dans laquelle il expose l'idée d'une nouvelle forme de coopération politique en Europe, qui rendrait impensable la guerre entre les nations européennes. Une occasion saisie par la team Europe, composée par l’ambassadeur de l’Union Européenne et les 15 Etats membres représentés au Sénégal, pour faire le point sur le partenariat Sénégal-UE face à la presse ce mercredi 8 mai.
Le sujet a particulièrement suscité des questions de la part des journalistes présents à la conférence de presse de la team Europe. La démarche pour obtenir un visa de l’espace Schengen continue d’être un parcours de combattant, tant les candidats rencontrent énormément de difficultés. Ceci commence par l’obtention d’un rendez-vous. Bon nombre de Sénégalais ont dénoncé le fait que la prise de rendez-vous était devenue un trafic, dans lequel, les candidats à l’émigration déboursent parfois jusqu’à 400.000 francs Cfa.
Ce business autour des rendez-vous, ne décourage pas pour autant les candidats à l’émigration. Selon l’ambassadrice de la France au Sénégal, Christine Fages, « le consulat général de France a traité 43.000 dossiers en 2022 et 46.000 en 2023 ». Dans les détails, « 2/3 pour des visas de court séjour Schengen, 1/3 pour des visas long séjour ». L’ambassadrice a aussi fait savoir que « le taux d’acceptation des visas de court séjour Schengen, est supérieur à 62% » et que « le délai de traitement des visas court séjour est de deux semaines, délai qui peut être allongé à trois semaines lors de pics d’activités liées par exemple à la campagne étudiante ».
S’agissant des problèmes rencontrés dans l’obtention d’un rendez-vous, l’ambassadrice de la Belgique, Hélène de Bock, a expliqué qu’il s’agit de « type d’acteurs avec qui, nous (UE) n’avons absolument aucune relation mais qui soumettent des dossiers et qui accaparent et captent les rendez-vous pour des demandes tout à fait régulières et donc, prennent la place de demandeurs lambda ».
A ce propos, la représentante diplomatique fait savoir que l’Union Européenne « entreprend toute une série de mesures, pour contrer l’intervention d’acteurs intermédiaires, d’officine », de concert avec les autorités sénégalaises. Par ailleurs, la représentante diplomatique a lancé un appel aux candidats à l’émigration. « Nous déconseillons de passer par ces officines pour demander des visas. Les informations requises pour une demande de visa, sont pleinement disponibles et le passage dans une officine n’offre aucune garantie d’acceptation », précise Hélène De Bock.
Le sujet a particulièrement suscité des questions de la part des journalistes présents à la conférence de presse de la team Europe. La démarche pour obtenir un visa de l’espace Schengen continue d’être un parcours de combattant, tant les candidats rencontrent énormément de difficultés. Ceci commence par l’obtention d’un rendez-vous. Bon nombre de Sénégalais ont dénoncé le fait que la prise de rendez-vous était devenue un trafic, dans lequel, les candidats à l’émigration déboursent parfois jusqu’à 400.000 francs Cfa.
Ce business autour des rendez-vous, ne décourage pas pour autant les candidats à l’émigration. Selon l’ambassadrice de la France au Sénégal, Christine Fages, « le consulat général de France a traité 43.000 dossiers en 2022 et 46.000 en 2023 ». Dans les détails, « 2/3 pour des visas de court séjour Schengen, 1/3 pour des visas long séjour ». L’ambassadrice a aussi fait savoir que « le taux d’acceptation des visas de court séjour Schengen, est supérieur à 62% » et que « le délai de traitement des visas court séjour est de deux semaines, délai qui peut être allongé à trois semaines lors de pics d’activités liées par exemple à la campagne étudiante ».
S’agissant des problèmes rencontrés dans l’obtention d’un rendez-vous, l’ambassadrice de la Belgique, Hélène de Bock, a expliqué qu’il s’agit de « type d’acteurs avec qui, nous (UE) n’avons absolument aucune relation mais qui soumettent des dossiers et qui accaparent et captent les rendez-vous pour des demandes tout à fait régulières et donc, prennent la place de demandeurs lambda ».
A ce propos, la représentante diplomatique fait savoir que l’Union Européenne « entreprend toute une série de mesures, pour contrer l’intervention d’acteurs intermédiaires, d’officine », de concert avec les autorités sénégalaises. Par ailleurs, la représentante diplomatique a lancé un appel aux candidats à l’émigration. « Nous déconseillons de passer par ces officines pour demander des visas. Les informations requises pour une demande de visa, sont pleinement disponibles et le passage dans une officine n’offre aucune garantie d’acceptation », précise Hélène De Bock.