Bien que retranché à Versailles, Me Abdoulaye Wade n’en suit pas moins attentivement les soubresauts qui émaillent sont parti. Le Pds risque d’être à nouveau secoué dans les prochaines semaines. Sous la houlette du Secrétaire national adjoint, Oumar Sarr, véritable courroie de transmission entre Me Abdoulaye Wade, Karim Wade et le staff du parti, les responsables libéraux vont cogiter sur des réaménagements à apporter dans les fonctions occupées par les uns et les autres au niveau de la direction du Pds, et ce, « en vue d’une meilleure prise en charge de nos convictions, et priorités du moment », a fait savoir Me Wade.
«Il faut des hommes et femmes dignes de notre confiance aux fonctions qui requièrent un engagement total et loyal envers leurs frères de parti et qui ne rasent pas les murs le soir, pour aller sous-traiter, lâchement, avec nos adversaires ou potentiels concurrents politiques. Pour ce faire, il va falloir retoucher certaines structures du parti, en attendant le prochain congrès qui ira beaucoup plus en profondeur dans le chamboulement de l’architecture actuelle. Déjà le 16 juin dernier, je vous disais qu’il nous faut opérer un bon choix des hommes. J’ai fini d’identifier clairement les chancres mous et autres faiblesses dans le dispositif actuel, on va ensemble y remédier. Et comme disait l’autre, à toute chose malheur est bon », explique le secrétaire général du Pds. Les libéraux sont ainsi prévenus.
PressAfrik
«Il faut des hommes et femmes dignes de notre confiance aux fonctions qui requièrent un engagement total et loyal envers leurs frères de parti et qui ne rasent pas les murs le soir, pour aller sous-traiter, lâchement, avec nos adversaires ou potentiels concurrents politiques. Pour ce faire, il va falloir retoucher certaines structures du parti, en attendant le prochain congrès qui ira beaucoup plus en profondeur dans le chamboulement de l’architecture actuelle. Déjà le 16 juin dernier, je vous disais qu’il nous faut opérer un bon choix des hommes. J’ai fini d’identifier clairement les chancres mous et autres faiblesses dans le dispositif actuel, on va ensemble y remédier. Et comme disait l’autre, à toute chose malheur est bon », explique le secrétaire général du Pds. Les libéraux sont ainsi prévenus.
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